Evy... collègue troublante
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
jeu,
... avoir une idée un peu plus précise de ses seins qui, sans être réellement généreux, résonnaient comme une promesse de volume pouvant amplement satisfaire une paume de main masculine… Innocence ou provocation de sa part, je n’en savais rien. Mais toujours est-il que je n’en perdais pas une miette et que cela commença à m’échauffer légèrement les sens. C’est idiot comme n’importe quelle nana en maillot de bain sur la plage vous laisse plutôt indifférent mais, lorsque c’est quelqu’un que vous connaissez, et notamment que vous fréquentez dans des cercles non privés, ce type de vision a une toute autre saveur… À nouveau, Evy me tira de ma douce torpeur : — Alors, qu’est-ce que tu en penses ?— Ça laisse rêveur, répondis-je sur un ton laconique.— Tu as vu, je te l’avais dit que ça fait du bien de se mater comme ça quelques photos, continua-t-elle.— Tu as raison, mais après c’est assez difficile de se reconcentrer, rétorquai-je, m’amusant de plus en plus du double sens de cette conversation— C’est vrai, mais il le faut… allez, on y retourne furent les mots qui coupèrent court à ce dialogue sibyllin. Nous retournâmes donc devant nos écrans, nous attachant à travailler vite et bien. Un silence s’installa : nous étions concentrés sur nos tâches. La tête tendue vers l’écran, l’avant-bras droit toujours à demi tendu sur la souris et le gauche en demi extension sur le clavier pour les raccourcis, le tout venant s’ajouter à un certain stress de devoir travailler dans des délais si courts, ...
... je commençai au bout d’une nouvelle heure à avoir les épaules et les trapèzes endoloris. Je me redressai sur mon fauteuil, poussant les épaules en arrière pour détendre tout ça, avec un petit soupir à la fois de douleur et de soulagement. Evy leva les yeux et me confirma qu’elle aussi ressentait la même tension au niveau des épaules. Résolus et volontaires, nous continuâmes néanmoins à travailler comme de bons petits soldats. Je suis alors arrivé à un goulot d’étranglement dans notre organisation : j’avais terminé ce que j’avais à faire, et je devais attendre qu’elle me transmette les fichiers sur lesquels elle travaillait. Je l’en informai tout en me levant et en passant derrière elle pour regarder en direct son travail. Très rapidement, elle intervint : — Arrête, ça me stresse encore plus que tu sois là derrière moi à regarder et à me mettre la pression.— Oh non, je ne fais pas ça pour te mettre la pression ! m’excusai-je, loin de moi cette idée, je suis désolé, je voulais juste regarder comment tu faisais…— Ok, mais ça me stresse quand-même ! Machinalement, et sans penser à mal sur le coup (je le jure), je posai mes mains sur ses épaules et commençai à les masser doucement en lui disant : — Bon, alors, je vais faire en sorte de te déstresser. Elle ne dit rien sur le coup et reprit son travail. Continuant à la masser de façon machinale en regardant son écran, mes yeux ne purent s’empêcher une nouvelle fois de redescendre sur ses seins afin d’éluder le fameux mystère de la ...