1. Evy... collègue troublante


    Datte: 27/03/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail jeu,

    ... le vouloir, mon cerveau analysa un détail qui m’échauffa légèrement : les bretelles de la robe étaient très fines… et étaient les seules bretelles que l’on voyait : n’avait-elle pas de soutien-gorge ? Pas besoin de vous dire qu’à partir de ce moment, ma seule préoccupation fut d’essayer de l’analyser sous tous les angles possibles, dès que j’en aurais l’occasion, pour valider la chose… Perdu dans ces pensées, juste une bribe de ce qu’elle racontait me parvint, et ce fut : — Tu en penses quoi ? Là, c’est en un dixième de seconde que je dû trouver une réponse pour éviter une seconde fois en quelques minutes d’être pris en porte-à-faux. C’est alors que je répondis le plus naturellement du monde : — J’en pense qu’il est l’heure de ce mettre au travail ! Elle acquiesça et nous nous dirigeâmes devant nos ordinateurs. Toc toc badaboum cascade… Je me devais d’être un peu plus prudent à l’avenir… Nos ordinateurs se faisaient face et, avec les grands écrans, on ne se voyait que si on se penchait, mais cela ne nous empêchait pas de discuter de tout et de rien, encore et encore. L’avantage avec nos métiers, c’est que ça demande de la technique, pas forcément 100% de cerveau disponible. Tout en continuant à discuter, je me rendis compte au bout d’une petite heure que ses gestes n’étaient plus tout à fait les mêmes et que sa posture dans sa chaise avait légèrement changé. Je lui lançai un peu taquin : — Toi, tu ne bosses plus, là…. Effectivement, elle m’avoua qu’elle faisait une petite ...
    ... pause et que, pour gérer un peu son stress, elle se rematait ses photos de vacances, quand elle était à Palma de Majorque,« Pour se remettre un peu de rêve dans la tête ». Je décidai que moi aussi j’avais droit du coup à une petite pause et lui demandai si elle ne voulait pas partager un peu de cet Éden, ce qu’elle accepta volontiers. Je me levai et passai alors derrière elle, tandis qu’elle faisait défiler des photos qui, il faut l’avouer, présentaient des panoramas de plages ensoleillées, d’eau bleue claire et de couchers de soleil flamboyants. Heureusement, elle ne se sentit pas obligée de commenter chacune des photos, ce que je serais capable de lui revaloir indéfiniment. Dans cette position cependant, et évidemment, il faut avouer que la moitié du temps je regardais les panoramas qui défilaient sur son écran, l’autre moitié du temps j’avais le regard qui essayait de plonger dans son décolleté. Mais la coupe de la robe ne laissait entrevoir que le tout début de la naissance du sillon de ses seins. Je décidai alors de chercher d’autres éléments me permettant de valider la fameuse thèse précédemment posée. D’un coup, mon regard fut de nouveau attiré par l’écran où les panoramas de carte postale laissèrent place aux photos de famille sur la plage. Et elle, en maillot de bain deux-pièces. Très naturellement, elle continua à faire défiler les photographies et moi je me délectais littéralement de son corps à demi-nu qu’elle m’offrait à voir sans vergogne. Je pouvais notamment ...