1. Le Pal


    Datte: 28/03/2021, Catégories: fh, extracon, fgode, fdanus, fsodo, attache, BDSM / Fétichisme ecriv_f,

    Le Pal Je suis loin d’être une sainte-nitouche. À 39 ans, quoique mariée, j’ai eu mon lot d’expériences. Des expériences de toutes natures, mais forcément extraconjugales. Aussi étrange que cela puisse paraître, j’aime mon mari. Et pas uniquement pour sa fortune. Certes, il a une très bonne situation et nous avons vraiment une maison splendide : cela aide, mais cela ne fait pas tout. Et s’il n’avait été question entre nous que d’argent, je l’aurais quitté depuis belle lurette. Je ne suis pas femme à m’embarrasser de considérations matérielles. Non, si je l’aime, c’est tout simplement parce que, sentimentalement, c’est l’amour de ma vie. Je lui ai fait deux beaux enfants, je l’ai comblé de petites attentions et, quoiqu’il arrive, jamais je ne le quitterai et je serai toujours à ses côtés pour le soutenir. Tout ceci ne m’empêche pas de le cocufier depuis toujours. Avant le mariage, je le trompais déjà. Alors, à plus forte raison depuis que nous sommes mariés. Mon mari a d’énormes qualités, mais il a également un vilain travers : au lit ce n’est vraiment pas ça. Vous allez me dire que j’aurais pu l’aider, que c’était à moi de l’initier aux plaisirs des sens, que j’aurais pu le guider. Oui, mais quand on n’est pas doué, on n’est pas doué. Il y en a toujours certains qui sont irrécupérables. Après avoir essayé pendant quelques années, j’ai fini par laisser tomber. Mais tout ceci n’est vraiment pas très grave. J’accomplis mon devoir conjugal de façon très régulière, pour lui faire ...
    ... plaisir, et moi, de mon côté, j’ai mes propres aventures. Mes petits amis, je les trouve sur Internet. Cela me semble moins risqué que de piocher dans le voisinage, une indiscrétion est si vite arrivée. En règle générale, je fais au moins la moitié du trajet, pour m’éloigner un tant soit peu de mon havre de paix. C’est pourquoi, après plus de vingt ans de tromperies, je pense que mon époux n’a guère plus de soupçons que la plupart des hommes. En tout cas, s’il en a, il ne le montre pas. Il y a quelques mois, un monsieur me contacte, la cinquantaine bien tassée, charmant, bien fait de sa personne, cadre supérieur dans une grande entreprise. Distingué, élégant, subtil, cultivé, galant. Il m’envoie des photos. Pour son âge, il n’est pas mal du tout. Et, mes goûts étant très éclectiques, je me dis « Pourquoi pas ? ». Il habite un peu loin, mais possède une maison de campagne à une centaine de bornes, l’idéal pour moi, et nous décidons de nous retrouver là-bas. Reste à fixer le jour et l’heure. Il a, apparemment, un emploi du temps de ministre. — Cécile, vous acceptez n’importe quoi en amour ? Ah, le cochon, je le vois venir. Sodo, uro, j’ai déjà à peu près tout essayé, même les légumes. — Je n’ai pas de tabous, du moment qu’il n’y a pas de violence, m’entends-je dire.— Je suis un être très doux, me répondit-il.— Tant mieux… Et évidemment, tous rapports protégés. Là encore, il est d’accord. Cette semaine, ce n’est pas possible. Nous reportons au milieu de la semaine suivante. Ça ...
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