Le Pal
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
fgode,
fdanus,
fsodo,
attache,
BDSM / Fétichisme
ecriv_f,
... instantanément. Vous comprenez ? « Stop », c’est le mot magique. Si vous dites « Arrêtez » ou « Non », cela ne comptera pas. Mais avec le mot « Stop », où que nous en soyons, tout sera terminé et nous ferons le point. Je le regarde dans les yeux… Après il sera trop tard. Mais il n’a pas l’air bien sadique. — C’est comme vous voulez… Cécile… (Il fait mine d’abandonner)— Non, allez-y, je suis prête, attachez-moi. Un poignet, puis un autre. À peine attachée, je regrette déjà. J’ai presque envie de dire « Stop », rien que pour tester son honnêteté. Mais à présent je dois lui faire confiance Ensuite il m’attache les pieds avec des cordelettes. Puis les cuisses avec des bandes de tissu. Il tire dessus (c’est là que c’est le plus serré) et ce, jusqu’à ce que je sois largement écartelée. Maintenant, je suis en grande partie immobilisée, même s’il me reste quand même une petite liberté de mouvement. Mais la situation n’est pas trop inconfortable. Il me laisse un court moment toute seule, ce qui me permet de regarder autour de moi. Tous ces appareils ont l’air terrifiants et surtout inhumains. Il revient avec une espèce de petit aspirateur qu’il pose pour l’instant sur la table. Je sens que les hostilités vont bientôt commencer, j’ai un peu peur, je suis stressée. Il est encore en train de bricoler, je ne vois pas trop ce qu’il fait. Je sens comme un liquide entre mes cuisses, c’est gélatineux, c’est froid. Je comprends qu’il est en train de me lubrifier en abondance. Puis je sens un ...
... gode qui s’enfonce en moi. Lubrifiée comme je suis, ça s’enfonce comme dans du beurre et je le sens à peine. Enfin le cliquetis d’une machine que l’on vient de démarrer et le gode se met à aller et venir en moi, pas très vite, mais assez profond. Au bout d’un certain temps, Raymond revient vers moi : — Alors, chère Cécile, ce n’est pas trop douloureux ?— Pour le moment ça va, je n’ai pas trop à me plaindre. Il branche l’aspirateur, je viens de comprendre à quoi ça sert. Il y a deux cloches au bout d’un long fil, il en pose une sur chacun de mes seins. Ça va, c’est supportable, l’aspiration n’est pas trop forte. Et puis bientôt un troisième élément vient s’ajouter : un appareil vibrateur qui se pose sur moi au niveau du clito. Je commence à être sérieusement stimulée, sinon excitée. À ce rythme-là, je vais jouir très vite, le clito plus le dildo qui me ramone, infatigable. Raymond tourne un bouton, il augmente la cadence. L’instant d’après, c’est l’aspiration sur mes seins qui s’accroît. Cette fois je sens nettement la pression dans mes tétins, ils durcissent, ils s’érigent. Je vais jouir très très vite. Mais le vibrateur s’arrête, suivi de l’empaleuse, il n’y a plus que mes seins qui sont sollicités. — Cécile, ce n’était là qu’un avant-goût, nous allons passer au stade supérieur. Il bricole encore et, quelque temps plus tard, il rebranche la machine. Vitesse très réduite, mais l’engin est de taille. Je le sens bien, il me laboure le vagin. Il est fort, imposant et toujours ...