1. Le Pal


    Datte: 28/03/2021, Catégories: fh, extracon, fgode, fdanus, fsodo, attache, BDSM / Fétichisme ecriv_f,

    ... nue. Il tourne autour de moi. — Vous avez de beaux seins. Il utilise le bout de sa baguette pour titiller mes tétons. Le contact est un peu froid mais pas désagréable. Puis il vient derrière moi et, toujours avec la badine, me tapote sur les cuisses afin que je les écarte légèrement. Le bout glisse le long de ma raie. Ensuite il fait de même de l’autre côté sur ma vulve. — Quel est le plus gros sexe que vous ayez eu en vous ?— Je ne sais pas, je n’ai pas mesuré.— Mais vous vous souvenez de cette personne ? Et des circonstances ?— Oui, c’était un Marocain. Nous étions à l’hôtel, un hôtel ordinaire près d’une gare de province.— Et vous avez bien joui ?— Oui, mais je jouis toujours bien.— Mais plus que d’habitude ?— Je n’en ai pas souvenir.— Vous aimeriez qu’un sexe énorme vous pénètre ?— Vous savez, ce n’est pas toujours la grosseur qui procure le plaisir.— Je sais, mais cela y contribue. Répondez-moi, Cécile, aimeriez-vous qu’un sexe énorme vous pénètre, est-ce un de vos fantasmes ?— Toutes les femmes aimeraient que leurs hommes soient plus gros, plus vigoureux, plus performants, aimeraient mieux les sentir en elles.— Toutes les femmes ne sont pas là, ici il n’y a que vous. Alors, Cécile, aimeriez-vous sentir en vous ce sexe surdimensionné ?— Oui, bien sûr, je suis partante. Je me dis : « Tiens, le vieux est monté comme un âne ». À moins que, tout simplement, il ait besoin de cette impression-là pour exister, qu’il ait besoin de se sentir supérieur aux autres hommes ...
    ... pour tirer son coup. — Est-ce que vous me faites confiance, Cécile ?— Oui, Raymond, j’ai confiance en vous.— Et bien nous allons passer dans la pièce à côté. Il ouvre la porte et s’efface pour me laisser passer. Ce n’est pas vraiment une chambre, on dirait plutôt une salle de gym. Et maintenant que je vois l’appareillage, je commence à comprendre : ce sont des espèces de machines à plaisir. Je n’ai encore jamais essayé ce genre de choses, cela me fait bizarre. Je me demande si ça fait mal. Je me demande aussi pourquoi cela ferait mal, ce ne sont, finalement, que des espèces de godes. Oui, mais si la machine va trop vite, si les mouvements sont trop violents ou s’ils sont trop désordonnés ? Il a compris mes inquiétudes et vient à mon secours : — Ne vous en faites pas, Cécile. Je ne veux que votre plaisir. Votre plaisir et rien d’autre. À la moindre douleur, même une toute petite gêne, vous me faites signe et nous arrêterons. Vous avez confiance en moi, Cécile ?— Oui.— Alors, allongez-vous sur ce banc-là et posez les pieds sur les étriers. Il vient près de moi, prend un de mes poignets et y attache un bracelet de cuir. Même chose de l’autre côté. Puis il passe derrière, j’entends des bruits métalliques. Je le vois revenir avec des chaînes qu’il va attacher aux bracelets. Machinalement, je retire mon bras, j’ai un geste de recul. — Allons, chère enfant, vous ne me faites pas confiance ? Quand vous serez attachée, il vous suffira de dire le mot « Stop » pour que j’arrête tout ...
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