1. Le Pal


    Datte: 28/03/2021, Catégories: fh, extracon, fgode, fdanus, fsodo, attache, BDSM / Fétichisme ecriv_f,

    ... infatigable. Les minutes s’écoulent : toujours aucune stimulation sur mon clito, j’ai presque envie de la demander, mais la pression s’accroît au niveau des seins. Des spasmes de plaisir me traversent la poitrine et mon sexe est en feu. Le rythme s’accélère un peu, encore un peu plus, je suis hors de moi, mon corps est arc-bouté, cette jouissance qui ne vient pas ! Enfin le retour du vibrateur, pas besoin de le laisser longtemps : je crie, je hurle, je me débats, je jouis de tout mon être. Mais la défonceuse est infatigable. Elle continue sa cadence infernale, à laquelle s’ajoutent les vibrations et l’aspiration de mes seins tuméfiés. Mon Dieu, je jouis encore et encore une autre fois à la suite. Cette jouissance est infernale, j’ai envie que ça s’arrête, je n’en peux plus, je vais dire « Stop »… Mais non, la pression vient de retomber au niveau des tétins et les vibrations ont à nouveau disparu. Ne reste plus que le lent va-et-vient de l’engin qui me pistonne. Il décroît peu à peu : tout est fini, quelle jouissance ! — Le hors d’œuvre vous a-t-il plus, chère Cécile ? Nous allons maintenant passer au plat de résistance. Je n’en crois pas mes oreilles, ce type est fou, je n’en peux déjà plus. Il retire le piston, je dois être béante, ouverte comme jamais. Je sens un liquide visqueux qui rentre dans ma chatte. Ça me chauffe un peu. Et une crème qu’il étale sur mes lèvres. Mon petit trou lui aussi est à l’honneur, il est lubrifié, inspecté, pluggé. Le plug reste bien enfoncé ...
    ... dans mes fesses. Puis la machine redémarre et je sens un truc énorme glisser entre mes cuisses. Trop gros, ça ne va pas passer, je me mords les lèvres. Contre toute attente, cela rentre en moi, c’est en train d’exploser mon vagin. Et, le pire, c’est que ça bouge lentement… Ce pal démesuré me transperce et me ramone. C’est horrible, j’ai l’impression d’être fendue en deux. Mais la douleur ne dure que quelques secondes. La crème chauffante fait son effet. J’ai l’impression que je vais déjà jouir. Il suffirait d’un rien, d’une petite vibration, mais le va-et-vient est imperturbable. Et quand la trayeuse de seins redémarre, je jouis presque instantanément. Quelques minutes plus tard, c’est au tour du clito vibrant de me terrasser. Mais le rythme s’accélère encore. Je ne suis plus qu’un trou énorme pourfendu de toutes parts par un mandrin surdimensionné : « Non, non, non… Arrêtez, je vous en supplie… ». Je crie, je hurle, je jouis. Oh, non, cela recommence déjà. Non, stop. Non, je n’ai pas dit « Stop », je ne dois pas le dire. C’est insupportable, je jouis encore, je suis à fleur de peau. Ça va toujours plus vite. Je crie, je me débats. « Non, non, non, arrêtez, j’ai mal, je n’en peux plus ». Je mets un point d’honneur à ne jamais dire « Stop ». Mais, quand le vibrateur revient sur mon clito et que tout s’accélère et que tout devient fou, et que je jouis, que je jouis, que je jouis… je ne suis plus que jouissance. Alors là non, je suis à bout, je n’en peux plus, je vais crever : — ...
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