Folies sous les tropiques
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
piscine,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
extraconj,
... On atterrit donc dans l’appartement d’un oncle opportunément absent, lequel au demeurant est le propriétaire de l’entreprise. Je n’ai pas passé la porte que le gamin m’immobilise contre le chambranle et derechef s’affaire pour retrousser ma jupe. La précipitation du jeune homme ne masque pas ses hésitations que je devine. Sa force et sa détermination ne sont pas telles que je ne puisse pas renverser la situation. Je suis sans crainte et en oublie jusqu’à l’envie de pisser. Le désir m’enflamme d’un seul coup. C’est fulgurant, incompréhensible, irrésistible. Le gamin pressent ma soumission, il me libère le temps de dégager son attirail. J’ai tôt fait d’enlever mon top et ma jupe. Je suis nue. Stop ! Capote ! Je m’offre le luxe d’être raisonnable. Il furète dans son portefeuille. Il en a une, une seule, que je déballe et que je glisse moi-même en place. J’œuvre sans précipitation, avec ravissement. Tous ces jeunes qui m’ont donné du plaisir, et le vieux aussi d’ailleurs, étaient dotés d’attributs remarquables. Du temps où Charles m’honorait encore, je devais me contenter de beaucoup moins. Sans même parler de la rigidité qui n’avait rien de comparable. Celui-ci, comme les autres, m’émerveille, il est si raide, si dru, si fier. Qu’arrive-t-il ? Une malfaçon ? Mon ongle ? Je ne sais. Toujours est-il que la protection est percée, inutilisable. Le jeune piaffe, impatient de repartir au boulot autant que de tirer son coup. Il jure ses grands dieux qu’il est sain. Est-ce mon désir ? ...
... Ma culpabilité ? Probablement les deux. Je cède. Le jeune mâle procède à la manière du pharmacien, empoigne mes fesses et m’adosse le cul sur une commode assez basse. Il se positionne et me pénètre du même élan sans ultimatum, propulsant son phallus d’un coup de reins violent qui ébranle mon bassin et déstabilise le meuble. D’emblée il lance les va-et-vient, mais de manière maladroite, précipitée. Je peine à trouver mon souffle autant que le rythme. Je suis débordée par tant de fougue. C’est un lion ! Un sauvage ! Il me blesse. Il me fait mal, mais pas assez que je n’en veuille pas encore davantage. Je serre les lèvres sans parvenir à étouffer tout à fait mes gémissements. Jamais auparavant, je n’ai soupçonné autant que ce jour mes tendances sadomasochistes. Je veux le faire bénéficier de mon traitement spécial, mais sincèrement c’est impossible. La moitié du temps, je contracte à contretemps mes abdominaux et les vasoconstricteurs. Je risque la déchirure et lui n’y gagne rien. Je relâche mes muscles et m’abandonne à la charge sauvage. Mon corps et toutes mes entrailles tressautent au rythme des assauts. Ma transe n’en proclame pas moins un début d’indépendance ; tous mes sens postés à l’affût, un premier orgasme me ravage avant qu’il n’éjacule… Puis il lâche ses bordées. — … J’entends vaguement qu’il me demande de baisser le son : Monsieur prétend que je beugle. Le petit rigolo ! Il se gargarise. Pour sûr c’est Satan qui m’a baisée. Je reconnais sa griffe. (Ces délires dont ...