1. Le Tableau - Deuxième partie


    Datte: 02/04/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme confession, jeux,

    Résumé : Ludivine, épouse de Ben, un marchand d’art, doit se rendre chez la nouvelle « découverte » de celui-ci, un jeune artiste nommé Yann. Ludivine, qui s’ennuie parfois avec son mari, malgré l’appétit sexuel de ce dernier, est trop passive pour résister à la demande de Ben : poser pour Yann, nue si ce dernier le souhaite. Le lendemain J’ai failli, en me levant, renverser le seau à champagne déposé près du lit, ce qui m’a causé une légère honte. La veille, afin d’aider Ben à arriver à ses fins, j’avais eu recours à un stratagème qui m’était parfois familier. Souvent, nous allons au lit avec une bouteille de vin blanc, rafraîchie au milieu des glaçons du seau. Quand, couchés tous les deux sur le côté, Ben me prend par derrière, par lassitude je laisse négligemment traîner un bras hors du lit. Sans que Ben s’en aperçoive (la lumière est baissée au maximum, et il est derrière moi…), j’attrape un glaçon ou deux, que je passe rapidement sur la pointe de mes seins. Ainsi, ce n’est pas l’excitation, mais le froid qui les fait durcir… Quand Ben sent l’orgasme qui monte, il a l’habitude de pétrir mes seins : mes tétons durcis le persuadent, à tort, que je l’accompagne… Je lui ai pourtant obéi, en portant la robe fourreau qu’il m’avait recommandé de mettre, pour aller chez Yann. Cette robe, tout d’une pièce, ne comporte ni bretelles, ni manches : elle est simplement maintenue par les seins, et une agrafe au dos, au-dessus d’une sinueuse fermeture éclair. Elle est aussi très courte, ...
    ... s’arrêtant à mi-cuisses, et ne permet guère de porter de quelconques « dessous », exigeant même d’avoir les jambes nues. Sortir dès le matin n’est guère possible « tel quel » : je passai par-dessus cette tenue un imperméable serré à la taille, me chaussai de ballerines plates – bref, tentai de passer inaperçue. En grimpant l’escalier qui montait à l’atelier de Yann, je pensais qu’il s’agissait non d’une visite ou d’une séance de pose pour un tableau, mais d’une « présentation ». J’avais bien compris que Ben était très impressionné par ce peintre, et qu’en m’envoyant à lui, il espérait sans doute resserrer nos liens. Une présentation, pour que je sois « représentée » en peinture : voilà qui me faisait sourire. L’atelier du peintre était banal, éclairé d’une verrière, avec des reproductions de peintres fort célèbres, et que j’aimais moi aussi beaucoup : une langoureuse amie de Modigliani, ses yeux pleins gardant la trace de la toute récente masturbation, Schiele, Klimt, mais aussi Frieda Kahlo… Rien à voir avec les tableaux abstraits qui s’accumulaient le long des murs. Yan m’attendait, vêtu d’une sorte de blouse de travail, tachée et froissée, sur un pantalon noir. Il ne prit pas la peine de me saluer, ou de me montrer, comme il en était convenu, ses quelques œuvres plus figuratives : il s’avança tout de suite, pour m’aider à enlever mon imperméable, puis, une fois l’imperméable ôté, se recula de quelques pas, et me regarda avec ces yeux intenses qui donnaient le frisson. Ce ...
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