1. Le Tableau - Deuxième partie


    Datte: 02/04/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme confession, jeux,

    ... femme ?— Mais enfin… Je ne suis pas une toile… Et cette peinture, quel effet sur ma peau ? Et pourquoi fais-tu cela ?— Je le sens ainsi, Ludivine. Tu ne rendrais rien, sur une toile – tu es belle, certes, mais tu es comme endormie, comme habillée même quand tu es nue. Je pourrais me contenter de te désirer, c’est facile, regarde mon pantalon : tu vois comme tu es excitante, tu me fais bander… Mais je suis un artiste, et je vais te transformer en toi-même. Laisse-toi faire : tu seras un tableau vivant, qui s’estompera dans un jour ou deux, sous la douche…— Quelle idée incroyable ! Comment vais-je pouvoir sortir d’ici, si tu peins entièrement mon corps ? Et puis, créer une œuvre en sachant qu’elle va être détruite…— Les sages indous le font tous les jours, Ludivine. N’as-tu jamais entendu parler des mandalas ? Et puis, ne t’inquiète pas. Je ne vais peindre ni ton visage, ni tes membres. Simplement ce qui est le plus évident chez toi : cette partie de ton corps qui va de tes seins à tes cuisses. Celle qui rend ton mari fou de toi, car Ben est fou de toi, j’en suis sûr…— Mais l’on dirait que tu vas faire de moi une femme tatouée.— Sauf que tu ne risques rien : les pigments que j’emploie sont inoffensifs. Maintenant, nous avons du travail, Ludivine. Arrête de parler et fais comme avec Ben : laisse-toi faire. Je n’eus même pas le temps de me demander comment il avait deviné ma passivité sexuelle avec mon mari : il avait déjà commencé à peindre mon corps, à grands coups de brosse ...
    ... d’abord. C’était une sensation vraiment étrange : malgré la température fort douce, voire très chaude de l’atelier (nous étions en été, et le soleil tapait sur la verrière), chaque ligne que Yann traçait sur mon corps me faisait frissonner. Il peignait à grands traits, concentré, ne me touchant que du bout du pinceau ou d’une brosse, parfois s’approchant à quelques millimètres de ma peau, pour dessiner un motif que je ne voyais pas, parfois se reculant et projetant vers moi des gouttes de peinture, qui coulaient ensuite le long de mon corps, et qu’il venait rattraper du bout du pinceau. L’une d’elles descendit ainsi, doucement, le long de mon sein droit, et vint s’immobiliser un instant au bout de mon aréole. Ce fut le seul moment où Yann me toucha, pour recueillir la goutte de peinture. Instantanément, mes tétons durcirent, et je n’avais certes pas besoin de glaçon pour cela… De toute ma vie, je me souviendrai de cette séance de peinture sur ma peau, qui fut l’expérience la plus sensuelle et la plus érotique que j’avais connue jusque-là. Yann recouvrit de couleur jusqu’au plus petit centimètre de ma peau, en me faisant varier les positions. Mes poils pubiens furent recouverts, quasiment un par un, d’une peinture dorée, qui les faisait briller et miroiter. Yann peignit tout : mon entrejambes, avec une infinie délicatesse, fut ainsi caressé par les poils des pinceaux dont il se servait tour à tour. J’étais tremblante de désir, et quand le pinceau s’approcha de ma vulve, je la ...