Le ridodo
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
vacances,
amour,
cérébral,
noculotte,
Oral
coupfoudr,
... cajoleuse, l’enjôleuse ! Place à la vorace, l’affamée, la déchaînée. La salope intégrale ! J’ai troussé son polo pour l’envoyer valdinguer à travers la pièce, je t’ai repoussé mon Harold à deux mains pour l’allonger sur le canapé, j’ai fait voler ma robe et je me suis jetée sur sa ceinture. Que je n’ai évidemment pas réussi à défaire, bien sûr ! Harold a pris le relais. Et pendant qu’il finissait d’enlever lui-même son pantalon, j’ai fait tomber mon slip. Comme il avait encore le sien, j’ai grondé : — À poil ! Je veux ta queue ! Obéissant, le Harold ! Et pas maladroit ! Il a viré en même temps slip et chaussettes ! Je crois que je ne lui ai même pas vraiment laissé le temps de se rallonger que déjà, j’avais sa bite en bouche. À quatre pattes entre ses jambes, je m’étais emparée de son guignolot pas tout à fait réveillé encore. Mais avec le traitement que je lui ai prodigué, Popaul n’a pas tardé à reprendre des forces ! J’ai adoré le sentir grandir et grossir dans ma bouche, s’affermir entre mes lèvres et palpiter déjà sous ma langue. Ma petite langue de pute qui parcourait tous les reliefs granuleux de la peau, suivait le réseau de ses veines gonflées. Mes doigts titillaient ses grelots déjà resserrés, malaxaient doucement les boules mobiles. Je le pompais avec entrain, je lui grignotais le nœud. Harold râlait sous mes assauts. Brusquement, il m’avait saisi aux épaules, tiré vers lui. — Donne-moi ton adorable langue de pute, mets-la-moi en bouche ! Le salaud ! Il me privait ...
... de sa queue pour profiter de ma langue et martyriser mes nichons. Et il ne voulait pas que ça. Quand j’ai essayé de m’échapper pour retourner déguster son poireau, il m’a encore bloquée : — Tourne-toi, je veux ta moule, je veux te brouter aussi ! Y a pire comme exigence ! Tu parles que j’ai obéi ! Têtes bêches, 69 d’enfer ! Langues affolées affolantes, sucions effrénées, doigts marionnettes agiles et indiscrets. Je le suçais, il me léchait, je le pompais, il m’aspirait, je le branlais, il m’enfournait ses doigts dans la chatte, me griffait, me fouillait, je le suçais encore, il avalait mon bouton ! Glouton - gloutonne, le Diable de Tasmanie et la Hyène du Kamtchatka, ça grognait, gémissait, grognonnait à qui mieux mieux ! Trop beau, trop bon, trop fou ! Impossible, impensable ! Intenable ! Oh oui surtout, intenable ! Je ne voulais pas céder, je le voulais en moi ! Je voulais le prendre, le capturer, me l’enfiler, danser sur lui ! Alors, je me suis échappée de sa bouche pour me retourner. À genoux, pile au-dessus de sa queue, j’ai défié mon Harold, capté son regard. Sans le quitter des yeux, je me suis abaissée, lentement jusqu’à sentir son gland plonger dans le corail trempé de ma fente, écarter mes lèvres enflammées, glisser dans le sillon pour buter sur mon bouton. Je me suis branlée le pistil sur son gland, doucement d’abord, très doucement, plus vite, plus fort ensuite, très fort aussi, glissant par instant le bâton jusqu’à l’entrée de ma grotte, pour revenir exploser mon ...