1. Le ridodo


    Datte: 05/04/2021, Catégories: fh, hplusag, vacances, amour, cérébral, noculotte, Oral coupfoudr,

    ... cabochon, encore et encore. J’ai senti le plaisir monter en moi, chaque frôlement, chaque butée brutale de la tige sur mon clito provoquant l’éclosion de vagues délicieuses, successives, qu’aucun ressac ne venait aplanir. Alors, fière salope, souriante, perverse, je me suis relevée une dernière fois, pour brutalement m’empaler sur l’engin, d’un coup d’un seul, jusqu’à la garde, bousculant mes chairs au plus profond de moi. Harold a sursauté, hoqueté, je l’ai vu naviguer entre douleur et bonheur. Et j’ai dansé sur la barre, montant, descendant, gogo-girl lascive et déchaînée, de plus en plus vite, de plus en plus fort, guettant nos tressaillements, forçant nos ultimes barrières pour décrocher le ticket gagnant. C’est venu d’un coup ! Boum ! Pourtant, j’avais guetté l’instant, mais la bascule m’a surprise. Le tourbillon s’est déclenché, pour moi, m’immobilisant une seconde en apesanteur. Et je me suis déchaînée, sautant, cabriolant sur le pieu, l’abandonnant même tout à fait par moments pour l’enfourner, l’engloutir à nouveau. J’attendais, j’espérais, j’exigeais l’explosion, son explosion à lui, ces giclées brûlantes qui viendraient me tapisser ma soute, preuves irréfutables de son plaisir ! J’étais partie, je volais, j’explosais dans l’azur, je perdais pied, je perdais le contrôle. Mais j’étais seule, il ne venait pas, il ne m’accompagnait pas. NON ! Alors, avant qu’il ne soit trop tard, j’ai libéré le sabre de mon fourreau et dans un dernier sursaut, ma dernière conscience, ...
    ... j’ai guidé la queue magnifique sur la rondelle étroite de mon cul, et… je me suis effondrée sur elle. Alors oui, j’ai su que j’avais gagné ! J’ai senti les spasmes libérateurs, les secousses irrésistibles du colosse vaincu, j’ai lu dans les yeux écarquillés de mon amant, ma victoire, son bonheur, notre fusion. Totale, infinie ! Je voulais recevoir, je voulais donner ! J’avais tout donné ! Plus tard, bien plus tard, calmés, apaisés, lavés, restaurés, désaltérés, j’ai pris Harold par la main, l’ai guidé vers la chambre. Dans le lit, je me suis pressée contre lui, pressée pour épouser son corps, son bedon contre mon ventre, mes seins contre sa poitrine, nos sexes à touche-touche. Et nos bouches se sont trouvées. Qu’est-il arrivé alors ? Nous nous sommes endormis ! ************ Le lendemain matin, Harold est parti. Trente-sixième dessous ! Gouffre sans nom ! Abysses… abyssales, eh merde ! Une loque ! Une épave ! Tout juste capable de m’occuper d’Hugo. Oh, il a en eu des bisous mon Trésor, des caresses, des poutous, des chatouilles. Je l’ai cajolé, bercé, serré contre moi, sans arrêt. Je lui ai raconté des histoires, gaies, des histoires de bébé, des histoires de nounours gourmands, de princes courageux, de grenouilles malicieuses. COÂ – CÔA ! En pleurant. J’étais tellement mal ! Vidée, anéantie, délabrée ! Pourtant, il avait promis de revenir, il voulait juste récupérer ses bagages avait-il dit, régler sa note d’hôtel, passer quelques coups de fil. Il était parti de chez lui si ...
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