1. Le ridodo


    Datte: 05/04/2021, Catégories: fh, hplusag, vacances, amour, cérébral, noculotte, Oral coupfoudr,

    ... décision courageuse de s’assumer, décision que je sens bien irrévocable, mais voilà, le blanc, la panne ! Beleu-beleu-beleu ! Je répète bêtement : — Je comprends… Soyons clair, la main que je pose alors, ou plutôt,MA main quiSE pose alors au-dessus de son genou est juste un témoignage de solidarité, d’amitié, de compassion, rien de plus ! Un geste parfaitement spontané, totalement innocent, simple réflexe un peu paternaliste. Aussi, lorsque je sens la jeune femme tressaillir, je réalise, je la retire précipitamment, ma main, comme si je venais de me brûler, craignant surtout de l’avoir brûlée, elle ! Je bredouille, penaud, revenant du coup au vouvoiement : — Excusez-moi, je ne voulais pas vous… Lilas me sourit, gentiment, pose son index sur ma bouche pour me faire taire. Elle rattrape ma main, la porte vers ses lèvres pour y déposer un léger bisou avant de la re-poser, au milieu de sa cuisse : — T’inquiète ! Je ne suis plus une gamine. Je m’assume totalement ! J’assume grave ! Pépère n’en mène pas large : Ohé, elle a trente ans de moins que toi la gamine ! Tu t’es vu, vieux barbon ! Va pas t’imaginer que… Ben justement, l’inimaginable se produit ! Lilas pose sa bouche sur mes lèvres, caresse ma joue râpeuse. Puis, l’étourdissant papillon de miel quitte mes lèvres. Lilas me sourit tendrement un instant, s’amuse de mon regard ahuri et revient m’embrasser. Fougueusement ! Sa langue, incisive, s’insinue, le baiser est doux, tendre, chaud, étourdissant avant de virer à la furie. ...
    ... J’ai trente ans ! J’ai vingt ans ! J’ai quinze ans ! Mon cœur cogne à tout rompre, une bouffée de chaleur m’incendie alors que ses mains glissent sous mon polo, parcourent mon dos. Nos bouches sont soudées, nos langues mêlées se défient, s’affrontent et capitulent tour à tour sous les assauts dominateurs, nos souffles se confondent à nous étourdir. Ma belle conquérante m’abandonne doucement, ses lèvres s’éloignent. Déjà ? Lilas se lève lentement, se plante devant moi et me défiant du regard, tire simultanément sur ses hanches les deux cordons de son slip de bain qui tombe sur le sable, dévoilant un fruit velouté, totalement glabre et luisant de cyprine. Lilas prend ma main pour m’entraîner à sa suite, entre dans la maison, l’index sur la bouche pour signifier le silence. Elle m’abandonne à peine entrée, file au fond de la pièce, jette un coup d’œil discret dans la chambre où dort son bébé, referme doucement la porte. J’admire son superbe petit cul blanc, rond et bien pommé, ses longues jambes de gazelle. J’ai enlevé mon polo que je jette au sol, elle se retourne, enlève son haut de maillot en revenant vers moi. Je suis ébloui, hypnotisé par ses seins ronds, orgueilleux, qui me semblent rétro éclairés tant leur blancheur flashe dans la pénombre de la pièce, des petits seins jolis où pointent de fiers tétons sombres, tendus, hérissés. Je suis paralysé, comme un premier communiant devant une gamine délurée exhibant sa culotte Petit Bateau. Lilas sourit, se moque sans doute de ma ...
«12...567...22»