Véro et les cinq mousquetaires
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fhhh,
couplus,
Collègues / Travail
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Et zut ! Le téléphone sonne ! Juste quand je viens d’entrer sous la douche, bien sûr ! Qui ça peut-il bien être ? Jean-Jean, mon mari, pour me dire qu’il a un souci à l’usine et rentrera en retard ? Les enfants parce qu’ils sont bien arrivés chez les grands-parents ? Ou alors plus probablement, un appel publicitaire… Bah, de toute façon, le répondeur se sera déclenché le temps que j’enfile un peignoir et trouve le sans-fil qui aura été déposé Dieu sait où ! Et avec l’après-midi passé à traquer les mauvaises herbes, tailler les rosiers, herser les allées… j’ai bien besoin de décontracter mes muscles endoloris sous le jet bien chaud de la douche. Je m’attarde d’ailleurs longuement jusqu’à ce que la pièce se transforme en hammam ! Je suis alors si détendue que je prolongerais volontiers ce bien-être par une séance de massage ! Ah si mon Jean-Jean était rentré, ou alors… voyons… qui pourrait avoir envie de malaxer une vieille comme moi ? Oh, je suis bien certaine que je pourrais trouver sans problème des volontaires si j’en crois les regards appuyés de ces messieurs partout où je passe. Et en plus, j’aurais droit au sourire bienveillant et amoureux de mon mari. Mais voilà maintenant qu’un coup de sonnette intempestif vient interrompre ma douce rêverie. Là, pas de doute, à cette heure-ci, ça ne peut être que mon homme qui a encore la flemme de chercher ses clés et qui préfère me déranger ! Il en sera quitte pour combler mes attentes. Je ne prends pas la peine de me sécher, enfile ...
... à la va-vite mon peignoir et me précipite à la porte, sûre de l’effet que je vais lui faire, avec les pans du peignoir entrouverts sur ma peau encore humide. Et c’est avec un sourire mutin que j’ouvre en grand et… découvre, non pas mon mari, mais son alter ego au travail, son quasi-jumeau en tempérament, Damien, sur le visage duquel se lit un ébahissement infini tandis que ses yeux détaillent mon anatomie généreusement dévoilée, que ce soit la naissance de mon opulente poitrine ou mes cuisses tout aussi largement découvertes. Prestement, je referme le peignoir et, horriblement gênée, bafouille : — Euh. Damien… je… euh… Mais bien vite, il reprend ses esprits et c’est d’une voix que je ne lui connais pas qu’il me dit : — J’ai essayé de te téléphoner. Jean-Jean a eu un accident à l’usine, il a été emmené par les pompiers. Viens, on va à l’hôpital. Sans attendre une réponse de ma part, il m’entraîne dans la maison, ferme la porte. Je suis comme anesthésiée, en état de choc ; la mention de l’accident m’a soudainement privé de tout ressort. Il m’emmène dans la salle de bain tout en parlant : — Un accident stupide. Un chariot élévateur a heurté une pile de caisses qui s’est effondrée. Jean-Jean passait juste à ce moment. Il avait disparu sous les caisses, on craignait le pire quand on l’a dégagé, mais le médecin pompier nous a quand même un peu rassurés. Une fracture à la jambe, mais le plus embêtant, c’est la commotion cérébrale : il faut attendre les résultats des analyses. Je le ...