Véro et les cinq mousquetaires
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fhhh,
couplus,
Collègues / Travail
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
... pantalon : il sursaute quand je les y pose. J’ai l’impression que Julien, Vincent et sans doute les autres me désirent depuis si longtemps qu’ils sont tendus comme des arcs : ils ont besoin que je les soulage. De fait, dès que je baisse un peu son boxer, son pénis bondit et bute sur ma vulve. Cette fois, je suis aussi surprise que lui ! Je n’en oublie pas pour autant mes devoirs : je saisis sans ménagement sa queue (j’ai remarqué que les hommes aiment ça) et l’amène à l’entrée de mon vagin qui est encore largement ouvert et gluant de sperme. D’une poussée de mon bassin, je le fais pénétrer profondément, puis pose mes mains sur ses fesses et imprime de suite un rythme endiablé. Au diable les préliminaires, ça fait des semaines qu’ils durent ! Je sais que c’est trop fort et qu’il ne pourra se contenir longtemps : c’est mieux ainsi, car si ça se prolonge, c’est moi qui vais être submergée par un orgasme or ma soirée n’est pas terminée… Je le sens qui se tend brutalement et se déverse en moi. C’est un autre Vincent que je découvre : pas un mot ne s’échappe de ses lèvres et il se serre tendrement contre moi tandis qu’il reflue peu à peu de mon vagin et qu’un important flot de sperme accompagne son retrait. Il semblerait que mes amants n’aient pas eu d’occasion récente de faire l’amour si j’en juge par l’importance de leur éjaculation. Ou alors c’est parce que leur désir pour moi est refoulé depuis trop longtemps ? Mon vagin me semble être une fontaine. Je pense brièvement à ...
... l’ancienne Véro qui aurait été horrifiée par ce que je viens de faire, mais je ne condamne pas son étroitesse d’esprit, je le déplore seulement, regrettant toutes ces années où je me suis enfermée dans un rigorisme stupide. Pourtant tout ce qui a fini par m’ouvrir était déjà là et j’aurais du en prendre conscience avant : un corps aux mensurations généreuses auxquelles correspondait un appétit sexuel en rapport, le plaisir que je prenais à m’exhiber dans des robes ou maillots de bain sexy appelant des regards appuyés et puis, ces hommes qui me tournaient autour, cherchant à me faire rire, à m’approcher, à m’effleurer… Je les repoussais autant que je les appelais. Heureusement, à force de patience, mon mari a fini par me faire accepter ma véritable nature, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Vincent retrouve enfin l’usage de la parole : — Quelle femme tu es ! Je souris. Tiens, serait-il mûr pour une vraie relation sur le long terme ? En aurait-il assez de virevolter ? On verra ! Pour l’heure, la maîtresse de maison se doit de revenir à la gestion de ses invités : — Là, je crois que je dois vraiment me nettoyer ! Je vous rejoins dans quelques minutes. Il me détaille brièvement des pieds à la tête et après un petit baiser sur mes lèvres, il s’esquive. J’entreprends une toilette volontairement superficielle, car je désire conserver ces effluves de sexe que j’ai l’impression de véhiculer. Mes pensées vont une fois de plus vers mon Jean-Jean et j’imagine son bonheur quand je ...