1. Véro et les cinq mousquetaires


    Datte: 05/04/2021, Catégories: fhhh, couplus, Collègues / Travail grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte,

    ... accompagne chacun de mes gestes, je me sens encore plus belle et lui-même est apaisé, serein. Je crois qu’avec ce qu’il vient de vivre, les préoccupations liées à sa femme sont ramenées à de plus justes proportions. Le sperme coule le long de mes cuisses, ça aussi, j’ai appris à aimer. C’est la matérialisation du plaisir que je donne et non plus le liquide gluant dont j’avais autrefois horreur. Je passe néanmoins par la salle de bain pour me nettoyer un peu. Mais à peine ai-je retiré ma robe que la porte s’ouvre sur un Vincent saisi de me découvrir nue. Je lui tourne le dos et je le vois dans le miroir : il n’aurait pas pu mieux choisir son moment ! Je suis à ce moment penchée en avant, occupée à inspecter un détail de mon maquillage. Je suis on ne peut plus cambrée avec les jambes ouvertes pour le nettoyage que j’allais entreprendre. L’éclairage qui vient du couloir doit mettre en valeur idéalement mes fesses et mon petit trou ainsi que mon vagin largement ouvert dans cette posture. Il ne peut aussi manquer de voir les traînées de sperme qui maculent mes cuisses. À nouveau, je me sens merveilleusement et magnifiquement indécente. Vincent, si habituellement volubile et rentre dedans, en reste figé. Je pose les mains sur le rebord du lavabo sans pour autant bouger le reste du corps. Placé de trois quarts arrière, il peut ainsi en plus découvrir mes seins : l’éclairage qui vient du dessus du miroir les magnifie également. J’ai conscience du splendide spectacle que je lui ...
    ... offre, mais ne veux pas en rester là. Je lui dis : — Tu entres ? Il se décide alors à faire un pas en avant, mais ne prend aucune initiative. Décidément, la réputation des Mousquetaires serait-elle surfaite ? J’insiste : — Tu fermes la porte ? Il acquiesce et s’exécute, mais rien de plus. Puisque c’est ainsi, il va me falloir tout faire ! Je me tourne vers lui, repose mes mains en appui sur le lavabo, me penchant ainsi légèrement en arrière, avec les jambes toujours ouvertes. Je baisse les yeux vers ma vulve, je me cambre en avant pour la mettre en valeur et dis : — J’allais me nettoyer, mais ça ne sera peut-être pas nécessaire ? Je tends une main vers lui qu’il saisit, et j’en profite pour l’attirer à moi. J’écrase ma bouche sur la sienne dans un baiser passionné et fougueux. Je sens le plaisir qu’il y prend, mais comprends qu’il préfère me laisser l’initiative. Fort bien, ça me convient. Je colle mes seins contre sa poitrine et le fin tissu de son T-shirt ne doit pas l’empêcher de sentir mes tétons durs comme de la pierre : je les frotte contre lui comme si je cherchais à l’en griffer. L’excitation monte en moi, mais il faut que je m’en méfie, car elle aurait tendance à me faire perdre mes moyens, je deviens alors juste le réceptacle du plaisir qu’on me donne et deviens incapable de la moindre initiative. Et comme ce soir, mes hommes ont décrété que j’étais capitaine de soirée, il faut que je reste maîtresse de moi-même. Mes mains partent à la recherche d’un renflement dans son ...
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