Véro et les cinq mousquetaires
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fhhh,
couplus,
Collègues / Travail
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
... vierge effarouchée, les corps à corps ne me faisaient pas peur et, à aucun moment, je ne les repoussais. Pourtant, ils n’hésitaient pas à me serrer fort de façon à ce que mes seins et mon ventre entrent en contact avec leur corps. Ils m’arrivaient même de sentir une verge bien dure m’effleurer l’entrejambe. Mais comme le temps n’était pas encore venu, ils se rétractaient bien vite comme lorsque l’on touche les cornes d’un escargot. Mais les temps ont changé et j’ai hâte d’en découvrir les effets. J’enfile ma robe que je boutonne partiellement, mais néglige toujours de mettre des dessous. Puis je les rejoins et mon entrée provoque un chœur de clameurs : — Ah la voilà ! On me donne une coupe que j’ai à peine le temps de porter à mes lèvres qu’elle m’est retirée et voilà qu’on m’entraîne dans une danse endiablée. La pénombre opportune qui règne dans la pièce ne me permet pas de distinguer qui fait quoi, qui m’étreint, mais peu importe. Je défile dans des bras puissants et c’est à celui qui se montrera le plus entreprenant. C’en est fini de la timidité : les désirs s’affichent. Mes différents cavaliers posent résolument des mains fiévreuses sur mes fesses pour me coller à leur virilité triomphante. Plus de retenue et c’est tant mieux ! On se frotte résolument contre mes seins ou on me les palpe sans vergogne. Même le fin tissu qui les voile est rapidement de trop et je sens qu’on me retire à nouveau les boutons pour les faire jaillir à l’air libre ! Des lèvres gourmandes se ...
... posent dans mon cou, s’aventurent sur mon visage et se perdent sur ma bouche. Je retrouve les sensations de la salle d’attente avec ces sollicitations multiples. Je virevolte d’un cavalier à l’autre, chacun se montrant plus audacieux que son prédécesseur. Soudainement, l’ambiance change et je prends conscience de trois choses : ma robe est grande ouverte, l’éclairage a encore baissé et la musique est désormais douce. L’atmosphère de bacchanale s’est évaporée, c’est maintenant un temps de douceur, presque de recueillement. À sa carrure, je devine que c’est Cédric qui est contre moi et qui évolue délicatement au rythme d’une douce mélodie jazzy. Mais où sont les autres ? Sont-ils partis ? Ah non, je les distingue à peine, assis tout autour de nous, attentifs au spectacle qu’ils devinent plus qu’ils ne voient. Je sens la tension qui habite tous ces hommes et particulièrement Cédric. À la timidité de son étreinte, je comprends que l’initiative a à nouveau changé de camp. Mon fantasme de nudité me revient et cette semi-obscurité me convient à merveille. Sans presque y penser, je fais glisser ma robe et me retrouve nue, une fois de plus. Je l’attire à moi et un sexe dur et tendu se presse contre mon ventre. Nous évoluons lentement et je prends plaisir à sentir son désir. Mais vais-je oser aller au-delà ? Depuis quelque temps, je suis confrontée à des situations inédites et, à chaque fois, j’aurais pu (ou alors aurais-je dû ?) dire non en mettant en avant une morale, des principes, des ...