Véro et les cinq mousquetaires
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fhhh,
couplus,
Collègues / Travail
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
... valeurs… mais je ne l’ai pas fait. Je n’ai pas pour autant perdu l’estime de moi-même, je suis juste une autre femme, plus libre, plus heureuse et qui répand autour d’elle ce bonheur. Alors, avec un petit sourire invisible dans cette pénombre, mes mains entreprennent un ballet rapide et précis : j’enlève la chemise de mon cavalier, car j’ai envie de sentir cette masse musculaire puis je palpe cette protubérance qui attend patiemment que je m’occupe d’elle. Je suis ses contours à travers le tissu du jogging. Je pars des couilles charnues, continue sur la hampe qui n’en finit pas et atteint enfin un gland massif : son sexe est en rapport avec la stature de Cédric et un instant, je suis un peu effrayée. Une femme peut-elle réellement accueillir un tel engin en elle et en éprouver du plaisir ? Mais j’ai une responsabilité envers Cédric, je me suis engagée, tacitement certes, mais quand même, à lui donner le bonheur qu’il mérite comme je l’ai fait pour les autres. De toute façon, comment le géant débonnaire et protecteur qu’il est pourrait-il faire mal à une femme ? Et puis, je dois bien l’avouer, ma curiosité est éveillée. J’ai beau savoir que la taille ne fait rien à l’affaire et que c’est la façon de s’en servir qui importe, l’aspect hors-norme, démesuré de cette queue me fait quand même fantasmer ! Il me revient en mémoire une remarque de ma mère : — Il ne faut pas avoir peur de se lancer dans des situations nouvelles sous peine d’avoir des regrets ensuite. Aurait-elle ...
... connu une situation de ce genre ? Non, pas elle ! J’entreprends de dégager ce sexe qu’on pourrait plutôt qualifier de gourdin s’il n’était aussi pacifique. Ou alors le comparer à une sorte de monstre assoupi qu’il faut amadouer et mes mains se font tendres et cajoleuses. Je fais en sorte que le pantalon de Cédric ne lui tombe pas aux chevilles : ce serait le comble du ridicule devant une assistance que je sens concentrée sur le moindre de nos gestes. De fait, l’apparition de la petite lumière tremblotante d’un portable vite rejointe par deux autres me conforte dans mon idée. Il y a là une dimension scénique qui est nouvelle pour moi ; jusqu’alors, jamais, je ne m’étais donnée en spectacle à une personne autre que mon partenaire amoureux. Me voilà donc exhibitionniste ? Cette prise de conscience me fouette les sangs et j’assimile ces lueurs falotes à des caresses. Nos spectateurs ne me touchent pas, mais je ressens malgré tout leur désir. Cédric et moi continuons d’évoluer lascivement, mes déhanchements très accentués s’adressent à nos trois voyeurs et les larges mains posées sur mes fesses doivent leur rappeler qu’il y a quelques minutes, chacun d’eux m’a possédée. Je sens mon partenaire de l’instant (le quatrième en peu de temps !) très concentré sur tout ce que je lui fais et il faut dire que je fais feu de tout bois ! J’ai l’impression de vivre une version érotique du combat de David et Goliath. Je n’ai pas de fronde, mais j’ai des armes tout aussi redoutables, à savoir mes ...