1. Véro et les cinq mousquetaires


    Datte: 05/04/2021, Catégories: fhhh, couplus, Collègues / Travail grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte,

    ... attributs féminins ! Ma bouche embrasse ou mordille rageusement ce qui est à sa portée, c’est à dire le haut de sa poitrine tandis que mes seins aux pointes dardées se frottent rageusement contre lui. Plus bas, d’une main, je lui masse le gland et de l’autre, j’entame une masturbation vigoureuse. Soumis à toutes ces attaques, mon colosse rugit de plaisir et je sens qu’il est temps de lui porter l’estocade. Mes deux bras se pendent à son cou et je me hisse. Comprenant mes intentions et relevant le défi, mon Goliath me saisit les fesses et me soulève comme un fétu de paille. Je peux alors à nouveau me concentrer sur son braquemart. Celui-ci devinant l’agression dont il va être la victime se tend davantage encore, pour autant que cela soit possible. Mais je relève le défi : je saisis cet engin d’une main qui ne tremble pas et le guide vers mon arme secrète, l’autre main en facilite l’accès, car il ne s’agit pas de le laisser se fourvoyer vers la porte basse ! On dit qu’un homme averti en vaut deux, mais on ne dit rien à propos des femmes ! En tout cas, je ne suis pas disposée à partager avec une autre ! Reniflant une ruse, mon formidable adversaire pénètre mon antre avec circonspection. Pourtant, le passage a été bien préparé et les substances résiduelles des précédentes intrusions facilitent largement son entrée. Mais cette timidité me convient, je sens mes parois intérieures se distendre peu à peu tandis que cette verge hors-norme continue de pousser. Je prends l’initiative ...
    ... d’entamer un léger va-et-vient pour que les entrées successives en parachèvent l’ouverture ; parvenu au fond, il se fige comme pour sentir ce fourreau qui le comprime étroitement et sans doute délicieusement. Cédric grogne à nouveau de plaisir et le moment est venu de finir la besogne. J’accélère progressivement le rythme et je fais en sorte de quasiment l’éjecter avant chaque nouvelle pénétration. Je sais par expérience combien ce sera plus intense. Je pense aussi à tous mes spectateurs attentifs aux mouvements de mon fessier. J’imagine que le halètement de Cédric doit réveiller en eux des impressions encore toutes récentes et leur silence respectueux est d’ailleurs très évocateur. J’aime beaucoup leur façon de me désirer, aucune vulgarité ne vient ternir ces beaux moments, il n’y a là que de la tendresse et de l’admiration. Mais je sens que mon cavalier, ou plutôt ma monture, se tend de plus en plus : l’instant ultime approche ! Et là, j’ai envie que ce soit un feu d’artifice pour nous deux. Les coups de boutoir de Cédric me semblent redoubler d’intensité. Fort heureusement, je n’ai cessé de le guider depuis qu’il a entamé ce coït massif et régulier : si un tel engin ratait l’ouverture qui lui est dédiée, il pourrait faire des dégâts et même ainsi, il me faut veiller à ce que sa pénétration ne soit pas trop profonde. J’ai découvert aujourd’hui que mon vagin avait une capacité d’adaptation que je ne lui connaissais pas, mais aussi qu’il a ses limites. Un gourdin comme celui de ...