Véro et les cinq mousquetaires
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fhhh,
couplus,
Collègues / Travail
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
... glisse son pull sous mes fesses, je m’installe sur le dos, posant ma tête et mon buste sur ses cuisses puissantes tandis que mes jambes sont accueillies par Damien et Julien. Vincent s’approche, nous contemple un instant, part sans un mot et revient peu après avec un plaid dont il me couvre complètement en disant : — Là. Ça sera mieux comme ça. Il l’ajuste bien sur moi en le lissant partout, des pieds à mes épaules en s’attardant plus particulièrement sur mes jambes, mon bas-ventre et mes seins. Et même au travers du tissu, le massage est bien agréable et, en guise de conclusion, il me prend le visage entre ses deux mains, dépose quelques baisers qui s’approchent de plus en plus de ma bouche, puis après une brève hésitation, pose ses lèvres sur les miennes. Puis il reprend sa déambulation. Ses trois compères sont d’abord restés interdits devant son audace et ils ont sans doute été surpris par le bien-être manifeste que je ressentais. Puis, sans qu’il y ait eu concertation entre eux et bien à l’abri sous le plaid, j’ai senti leurs mains se poser sur moi. Timidement d’abord, elles ont investi mes jambes, des pieds aux cuisses, à même la peau, sans doute parce que ma robe est courte ou peut-être s’est elle retroussée dans la position allongée. De l’autre côté, Cédric m’entoure les épaules de son bras pour maintenir ma tête et pose son autre main à plat sur mon ventre. Malgré le tissu, je la sens large, possessive et lui laisse le champ libre en allongeant les bras le long de mon ...
... corps. Après l’inconfort de la position assise, je me sens si bien que je ferme les yeux. Je devine leurs regards fixés sur mon visage, attentifs à mes réactions. Effectivement, je suis comme en attente, la bouche entrouverte, les narines frémissantes : toutes ces mains ne peuvent pas rester ainsi immobiles, chacune d’elle est porteuse de tant de bien-être qu’elles doivent forcément faire quelque chose ! Ah, ça y est ! Elles ont perçu mon envie et je les sens s’animer peu à peu. Doucement, juste comme il faut. Je suis entièrement concentrée sur mes sensations, plus rien d’autre ne compte. L’univers autour de moi n’existe plus, il a disparu comme dans un brouillard. Julien s’occupe d’une main de mes mollets et de l’autre de mes pieds. Il en masse les coussinets puis l’orteil qui lui correspond, les tiraille un peu, s’attarde sur le talon et le pourtour du pied, mais ne fait qu’effleurer la voûte plantaire qu’il devine, à juste titre, trop sensible. Il passe d’une jambe à l’autre de temps en temps, ne voulant sans doute pas frustrer l’une par rapport à l’autre. L’autre main n’est pas inactive et caresse la jambe de haut en bas en commençant par le genou qui semble être la limite de sa zone d’intervention ! Parfois, sa main droite soulève le pied pour que l’autre puisse malaxer le mollet par le dessous : il n’y aurait que Julien que ce serait déjà un magnifique moment, mais, plus haut, je sens Damien œuvrer lui aussi, avec un temps de retard, peut-être parce qu’il a accès à une ...