Véro et les cinq mousquetaires
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fhhh,
couplus,
Collègues / Travail
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
... ses intrusions dans mon vagin qui me semble être une mare tant je suis mouillée provoque comme un clapotis qui doit emplir tout l’espace. Je suis même surprise que l’infirmière de l’accueil ne soit pas encore intervenue, car alertée par ce vacarme ! Cédric a compris l’ampleur de ce que je ressens et décide d’y contribuer en se concentrant sur mon clitoris qu’il caresse énergiquement. Soumise à cette double sollicitation, je sens un orgasme puissant qui me submerge et je fais un effort surhumain pour ne pas hurler ma jouissance. Je suis tendue comme un arc et repousse toutes ces mains qui autrement me feraient mourir ! Je peine à retrouver ma respiration, concentrée sur ce plaisir qui ne reflue que très lentement. J’entrouvre les yeux pour découvrir les doux sourires de mes tendres mousquetaires. J’esquisse une grimace qui se veut un sourire de remerciement quand, tout à coup, déboule un Vincent parlant haut et fort, même trop haut et trop fort, mais c’est à n’en pas douter pour nous avertir : — Véro ! Véro ! Voilà le médecin de garde ! Il a des nouvelles pour toi ! Branle-bas de combat ! C’est tout juste si mes galants ne me font pas tomber en se redressant ! Tant bien que mal, je me lève aussi, avec une crainte de taille : me retrouver nue devant lui ! Je me rajuste précipitamment, mais fort heureusement, le gilet qui est resté en place cache la béance de ma robe dont je n’ai pas le temps de remettre les boutons. Je remercie intérieurement Damien et Julien qui n’avaient ...
... pas retiré ceux du bas. L’interne, après avoir dévisagé Vincent qui vient juste de cesser ses beuglements, détaille maintenant cette troupe étrange : une femme échevelée, court vêtue, accompagnée de quatre gaillards : je n’ai sans doute pas l’apparence des femmes éplorées qui fréquentent habituellement ce lieu. Mais peu importe ce qu’il peut bien penser : j’ai l’impression que ma vie est suspendue à ses lèvres. Et après un dernier examen de mes cavaliers et avec une moue réprobatrice, il se décide enfin à parler : — Madame Dutertre ? Nous venons de terminer les examens et je peux donc vous rassurer. Hormis un léger traumatisme crânien qui devrait disparaître rapidement et la fracture du fémur gauche, votre mari va bien. Il a des contusions mineures un peu partout, mais il va se rétablir vite. Mes mousquetaires laissent éclater leur joie, se congratulent, me serrent dans leurs bras. Quant à moi, seul un léger sourire laisse deviner le soulagement que je ressens. Je ne peux que murmurer un « Merci » que notre médecin ne doit pas entendre, car il a tourné le dos au spectacle déplacé de cette femme chahutée par tous ces hommes. Nous quittons rapidement les lieux et arrivés sur le parking, je retrouve enfin l’usage de la parole : — Allez, vous allez tous venir à la maison ! Il faut fêter ça ! Mais je ne rencontre que des regards gênés, fuyants. Je comprends ! J’ai affaire à une quadruple crise de conscience, ils ont l’impression d’avoir trahi leur ami, de l’avoir abusé alors qu’il ...