Véro et les cinq mousquetaires
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fhhh,
couplus,
Collègues / Travail
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
... était au plus mal. De les voir ainsi, je mesure le chemin que j’ai parcouru depuis une certaine promenade à la plage. Il va me falloir les rassurer, les réconforter, les déculpabiliser : je leur dois bien ça ! — Vous ne voulez quand même pas que je mette à genoux ? Vous vous souvenez que vous m’aviez dit : « Tous pour Véro ! » Alors, ils sont où mes mousquetaires quand j’ai besoin d’eux ? Et, à votre avis, qu’est-ce que dira Jean-Jean quand il saura que vous m’avez laissée toute seule à la sortie de l’hôpital ? C’est maintenant qu’il faut m’entourer, me chouchouter. Regardez-moi bien : je ne suis pas n’importe quelle femme, je suis Véro. Je suis faite pour aimer et être aimée et c’est Jean-Jean qui m’en a fait prendre conscience. Alors les scrupules déplacés, à la poubelle ! Allez, en route ! Je m’installe d’autorité dans la voiture de Damien et tous nous suivent. Arrivés à la maison, je suis tentée d’aller me changer, mais arrivée dans la chambre, une fois le gilet retiré, je me regarde dans le miroir. Je me trouve merveilleusement indécente et c’est la première fois que j’ai une telle pensée. Je n’ai toujours pas remis les boutons de ma robe et j’aperçois mon ventre légèrement bombé ainsi que mes seins lourds aux aréoles foncées, mais pourquoi est-ce que je porte cette robe-là ? Ah oui, elle attendait d’être lavée, près de la machine à laver, dans la salle de bain et c’est le premier vêtement que Damien a trouvé à me donner avant de partir à l’hôpital. C’est une belle ...
... robe d’été courte, décolletée et sexy, pas vraiment ce qu’il convient de mettre pour aller aux urgences ! Je comprends mieux pourquoi il a rajouté un gilet ! J’étais quand même plus décente. Et si je ne porte pas de sous-vêtements, c’est parce qu’il a cru que j’aurais pris l’initiative d’en mettre alors que j’étais au-delà de ça ! Je décide de laisser cette robe, mais j’en referme quand même les boutons sauf le dernier. De plus, je reste nue dessous et c’est une merveilleuse sensation. J’ai l’impression d’être totalement disponible, le léger tissu de la robe ne constitue qu’un rempart dérisoire, ma nudité est évidente, mes seins bougent, ballottent même. Le désir anime le moindre de mes mouvements, il se lit dans mes yeux. Quand je les rejoins, je sens leurs regards de prédateurs se poser sur moi et cela me ravit. J’en rajoute, j’ai envie de les exciter encore plus. Mais je ne vois pas Julien et on me dit qu’il est parti essayer de téléphoner à sa femme. Je sais qu’il va au-devant d’une déception, elle sera sortie ou inaccessible. Je le trouve sur la terrasse, assis sur une chaise du salon de jardin, le regard perdu dans le vide. Son portable est posé sur la table : c’est bien ce que j’avais imaginé. Je m’approche, reste debout près de lui et pose une main sur son cou que j’effleure doucement. Je n’ai encore jamais été aussi directe avec lui. Il baisse la tête pour mieux se laisser aller, j’élargis le champ de mes caresses à ses épaules et à ses cheveux : il les porte longs et ...