1. Un soir à Paris


    Datte: 06/04/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail Oral pénétratio, fdanus, confession,

    ... palpitait au fond de moi. J’étais en train de m’ouvrir et de fondre. J’avais gardé ma culotte. Je n’y pensais même pas. Mon ventre s’anima d’un mouvement de houle et se pressa contre sa hanche. La sensation de contact contre mes lèvres et mon clitoris était celle de ma culotte que mon roulis avait dû retourner contre le pantalon du costume de Sandro. J’étais excitée, survoltée, par la nouveauté, l’attrait de cette situation qu’en quelques petites minutes j’avais su inverser à mon profit. Ses tétons étaient tendus comme ceux d’une fille. Son cou était rouge malgré son teint mat. Le sang gonflait ses veines comme s’il manquait de respiration. Sa gorge me faisait penser à une verge si tendue que chaque vaisseau en devient apparent. Je repliai mon autre genou et me calai à cheval sur une de ses jambes. Je n’avais rien senti, mais mon chemisier était défait, dévoilant mes petits seins nus et tendus. Nous nous frottions l’un à l’autre comme deux chats qui se découvrent et se jaugent, hésitants entre l’étreinte et le coup de griffe. Je lapai son cou et la base de ses oreilles, caressant sa poitrine et plongeant mes mains dans le creux de ses bras. Mon ventre, un lac, débordait de chaleur. Mes reins étaient comme parcourus de fourmis folles qui me dévoraient de l’intérieur et ne trouvaient pas d’autre issue que ce plaisir presque douloureux, qui envahissait mon corps et prenait possession de ma raison. J’aurais voulu le sentir en moi, m’empaler, m’investir, me combler m’assouvir ...
    ... sans délai. Je n’avais pas encore goutté sa langue. oooo0000oooo Ses mains sur mes fesses me massaient en profondeur, accompagnant l’ondulation de mes reins contre son bassin. Ma jupe était à présent totalement relevée, tire-bouchon chiffonné qui m’offrait encore plus indécente que si j’avais été totalement nue. Avec autorité, il saisit ma tête rapprochant nos bouches. Le contact de ses lèvres étrangères était doux. Je le pénétrai aussitôt, sa langue avait le goût du whisky japonais. Se relevant de la force de son ventre, ses mains plaquées contre le haut de mon dos, mes jambes s’enroulèrent autour de sa taille, l’enserrant avec force, tandis que mon ventre agité se pressait contre lui. Je fouillai sa langue, mordillai ses lèvres. Il m’aspira, se faufilant. J’étais une anguille impatiente, lui un serpent aux aguets. J’avais fermé les yeux, goûtant le mélange de nos salives qui confondaient leurs goûts. Je me sentis tomber dans un puits de douceur qui me brûla les joues. C’est ma bouche qui, à présent, le dévorait pour mieux le recevoir. Il explora chaque parcelle de mon intimité. Je le sentis s’accorder à moi. Son sexe durcit, aiguisant mon excitation. Nous baisions nos bouches assoiffées. Ses mains caressèrent mes joues, je m’accrochai à ses épaules nues sous sa chemise. Je grognai. Ce n’étaient pas des cris de plaisir ou de volupté, mais une sourde animalité qui m’animait. Il resta silencieux, mais conquérant. Son ventre s’accorda au rythme du mien. Nous n’avions pas pris le ...
«12...91011...15»