1. Un soir à Paris


    Datte: 06/04/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail Oral pénétratio, fdanus, confession,

    ... en lui le désir espéré. Je ne lui laisserai pas de victoire facile. S’il m’investissait, par la bouche ou ailleurs, ce serait sous le fer de son sexe tendu à craquer. Je n’étais pas celle qui se donne, mais une marée qui prend sans rien laisser. Ce soir, ce n’était pas lui qui menait la danse. J’attendais qu’il sache correctement battre la mesure. oooo0000oooo Je vivais simultanément deux secondes fois, pour la première fois. Un homme de presque le double de mon âge. Un membre flaccide, moi qui était habituée à l’impétuosité extravagante des jeunes queues impatientes. Je n’avais aucun doute quant à mon attrait et ma capacité de séduction charnelle. J’ai souvent constaté que les hommes, ceux revêtus de pouvoir d’autant plus, fonctionnaient pour la plupart dans un schéma de domination au stade de l’approche et du premier contact. Même ceux qui dans leur nudité étaient prêts à redevenir des gamins soumis à mes fantaisies abandonnaient rarement leurs prérogatives. Je n’étais pas prête à me faire retourner comme une soubrette que l’on culbute sur un coin de bureau. Je voulais aussi sentir pour moi la force du désir mâle qui ne laisse plus de place au contrôle ou à une mesquine courtoisie. Je n’aime pas ceux qui me complimentent et me baratinent, dissimulant leurs intentions. Je n’aime pas non plus laisser penser que je ne suis qu’une poupée qui écarte les jambes quand on lui pose une main sur le ventre, un petit coup facile que l’on case dans un emploi du temps au moment du ...
    ... déjeuner. Les mains de Sandro se posèrent sur ma tête. Mes lèvres posées sur son ventre, j’enfouis mon visage dans la douceur de sa peau ferme. Il accentua la pression sur mon crâne. Elle m’intimait le chemin qu’il aurait voulu que je suive. J’étais consciente de son désir de ma bouche. C’est vrai que j’aime cela. Sentir une queue tendue sur le bout de ma langue, l’aspirer, la téter m’a toujours rendu folle. J’aime cette sensation de détenir entre mes lèvres les clés du plaisir de mon partenaire. Ranimer à la vie un sexe épuisé, faire renaître l’envie quand le plaisir semble épuisé me donne une sensation de toute puissance. J’aime goûter l’intimité des hommes qui m’attirent. Ils ne sont pas nombreux. Mais je n’apprécie pas du tout que l’on me mette dans la peau d’une actrice de X. Le tour du propriétaire avec ses figures imposées dans l’ordre m’insupporte. Je jouis autant de ma bouche, de mon sexe, de mon cul que de mon cerveau. Si je suce, c’est parce que je sais que l’envie chez moi est si forte que j’en ai besoin tout de suite, pas pour faire plaisir à l’autre, encore moins pour l’aider à bander. La pression devint insistante. Je ne céderai pas. Je remontai la tête vers son cou, sa main sur mes cheveux, comme une anguille qui nage contre le courant. Il dut sentir qu’il valait mieux ne pas insister, attribuant probablement ma réticence de l’instant à une pudeur illusoire. Je remontai un genou contre ses flancs et soulevai ma jupe qui me gênait. Ma chatte était trempée, une veine ...
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