Amours ancillaires
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
soubrette,
Oral
69,
Je m’appelle Arnaud. Je suis né il y a vingt deux ans dans une famille bourgeoise, où je n’ai jamais manqué de rien, sinon de l’affection de mes parents qui préféraient me confier aux bons soins d’une batterie de domestiques plutôt que de s’occuper eux-mêmes de mon éducation et de mon bien être. Il y a trois ans de cela, nous devions partir, comme tous les étés, dans notre villa de Cabourg, lorsque je tombai malade. Une forte fièvre, brutalement apparue, me provoqua trois jours de divagations. Mes parents prirent la décision de partir tout de même. Je restais à Paris, juste surveillé par Françoise, notre cuisinière qui, pour l’occasion, devint également femme de ménage et garde malade. Pour accomplir toutes ces taches, elle vint s’installer à demeure, délaissant de fait son mari et ses enfants. J’étais faible, tenant à peine sur mes jambes. Tous les jours, elle m’aidait dans mes moindres mouvements, m’accompagnant aux toilettes, me déshabillant, m’essuyant et me rhabillant. La situation était gênante. Heureusement, elle avait l’âge d’être ma mère et je n’étais pas porté sur les femmes mûres. Dans le cas contraire j’eus été plus qu’ennuyé quand, chaque jour, elle m’aidait à me laver. Avoir une érection sous les caresses de son gant de toilette m’aurait mis dans une gêne indescriptible. J’étais, par ailleurs, bien conscient que ma fébrilité rendait la chose plus que difficile. L’après-midi du deuxième jour, on sonna à la porte. Françoise alla ouvrir. La porte de ma chambre ...
... légèrement entrouverte, je pus entendre quelques bribes de conversation. — Merci, ma chérie. Dans son état, je ne peux pas le laisser seul, même pour aller faire des courses.— Oh, tu sais, ça ne m’a pas fait faire un gros détour. Il va mieux ?— Bof ! Toujours 39,7. J’avais envie d’aller aux toilettes. J’appelais Françoise pour qu’elle vienne m’aider. Elle accourut, me prit par le bras et me fit traverser le couloir. Elle attendit à la porte que je finisse. Sa fille vint la rejoindre. Sa voix était douce. — Je vais y aller. J’ai rangé les courses dans l’office.— Merci ma chérie. Mais attend un instant, je vais te rembourser. Je toussais pour signifier à Françoise que j’avais terminé. Elle vint m’aider à remonter mon bas de pyjama. Lorsqu’elle ouvrit la porte pour me ramener à ma chambre, je tombais nez à nez avec la demoiselle dont je ne connaissais, jusque là, que la voix. Elle était très jolie, sans être comme mes copines de fac, sophistiquée et préparée pour ressembler à une photo de magazine. Ses cheveux bruns au carré encadraient un visage aux traits fins d’où ressortaient un regard bleu perçant et deux lèvres charnues. Elle avait de jolies rondeurs qui donnaient à ses hanches et à sa taille des formes attrayantes. Elle portait un débardeur beige, dont le col en V montrait la naissance de sa poitrine et une peau qui semblait d’une douceur soyeuse. Mon regard fut captivé par ce décolleté. Françoise, placée derrière moi, ne s’en aperçut pas. Elle nous présenta. Sa fille se ...