Amours ancillaires
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
soubrette,
Oral
69,
... regard était éloquent. — Non, mais, je veux dire… Elle ne vous a pas… Elle n’a pas commencé quelque chose qu’elle n’a pas terminé ? J’osais un signe de tête. — Oh, la salope! Oh, pardon… Je voulais dire… Ce n’est pas très correct, quand même, vous devez être frustré… Comme si votre fièvre n’était pas suffisante. J’ai honte… Attendez, on va essayer de réparer ça. Elle éteignit la lumière. Les volets étant fermés, la pièce fut plongée dans une obscurité profonde. Soudain, je sentis le matelas s’enfoncer à côté de moi. Les draps furent rejetés sur le côté. Une main saisit mon sexe et commença à le branler. Je me doutais que c’était Françoise mais, dans l’obscurité, c’est Audrey que je voyais. Et peu à peu, la fièvre aidant, je ne savais plus qui de la mère ou de la fille était en train de s’occuper de moi. Deux lèvres humides se posèrent sur mon gland. Puis une langue en lécha l’extrémité. Les lèvres se refermèrent, emprisonnant mon membre. La langue parcourait la partie immergée de ma verge. La bouche avalait lentement mon sexe, dévorant millimètre par millimètre, jusqu’à ce qu’il fût tout entier à l’intérieur. Une main malaxait mes testicules tandis qu’une autre caressait mon ventre. Mon souffle était de plus en plus rapide. Ma main rencontra un genou et glissa le long de la cuisse. Plus ma main avançait et plus elle rencontrait une peau chaude et moite. Puis les cuisses s’écartèrent et ma main rencontra un sexe. Ma paume se posa tout contre et ...
... s’inonda d’une eau chaude et épaisse. La bouche abandonna mon sexe et ma maîtresse se leva. Je croyais de nouveau être abandonné. Mais je sentis bientôt un corps de femme, tout entier, s’allonger sur le mien. J’avais désormais contre mon nez, le sexe que touchait ma main quelques instants plus tôt. La bouche reprit mon sexe entre ses lèvres et entama un va-et-vient rapide et ferme. Mes mains empoignèrent les cuisses de part et d’autre de mon visage et ma bouche vint se coller au sexe de mon amante. Ma langue happait toute l’humidité qui s’échappait de ce sexe offert, comme pour l’assécher. Le bassin au-dessus de ma tête ondulait au rythme du mien. Je sentais ma verge heurter régulièrement le fond d’une gorge, tandis que mes mains désormais tenaient fermement deux fesses rondes. Je n’eus pas le temps de me rendre compte de quoi que ce soit, encore moins de prévenir. Mon corps se raidit dans un spasme et mon plaisir éclata. Je tombais immédiatement dans une inconscience brutale. Lorsque je m’éveillais, le lendemain, il n’y avait aucune trace de quoi que ce soit. Mon pyjama semblait frais repassé, boutonné jusqu’au cou. Mes draps étaient bordés. Même le regard de Françoise ne laissait rien supposer. Etait-il possible qu’il ne se soit rien passé ? Que j’aie rêvé tout cela ? Que mes fièvres soient responsables de cet émoi sensationnel ? Aujourd’hui encore le doute m’envahirait, si je n’avais vu, en tournant mon regard, un bol de soupe froide sur ma table de nuit.