1. Amours ancillaires


    Datte: 09/04/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, soubrette, Oral 69,

    ... — Ça va, s’enquit-elle ?— Oh oui… Elle reprit son baiser et commença à glisser le long de mon corps. Sa bouche embrassait mon cou, mes épaules. Sa langue sortait parfois, pour laper un morceau de ma peau. Je sentais ses seins ronds sur mon ventre frémissant tandis que le sien s’appuyait contre mon sexe. Sa langue lécha mes tétons qui durcirent sous cette fraîche caresse. Ses mains tenaient mes hanches et ne bougeaient pas. Je les sentais, à mi-chemin entre mon sexe et mon ventre. Mon excitation se faisait plus forte encore. Elle reprit sa descente. Sa langue léchait maintenant tout ce qu’elle pouvait. Mon ventre lui était entièrement offert, et il semblait qu’elle ne voulait en rien perdre. Ses mains encadraient toujours mes hanches et ses seins, maintenant, voisinaient avec ma verge durcie. Son regard dans le mien, elle souriait. Je n’en pouvais plus. Mon sexe était au bord de l’explosion. Moi, toujours passif, je voulais faire quelque chose. Lui rendre un minimum de ses caresses. Mais j’étais faible. J’avançais avec effort ma main sur son épaule que je caressais, puis vers ses cheveux, dans lesquels j’enfonçais mes doigts. Elle prit cela pour une invitation à poursuivre plus bas ses baisers. Ses mains saisirent alors l’élastique de mon pyjama et le firent glisser. Mon sexe se libéra et pointa vers le ciel. Elle se redressa, assise sur mes genoux, et caressa mes testicules du bout de ses doigts. Puis, d’une main, elle saisit mon membre qu’elle commença à branler, de haut en ...
    ... bas, à la base de la verge. De l’autre main, elle entama le même va-et-vient au niveau du gland. Son regard pénétrait toujours le mien. Elle lécha ses lèvres et se pencha. Elle embrassa mon ventre. Puis, humidifiant de nouveau sa bouche pulpeuse, l’approcha de mon sexe prêt à éclater. C’est à ce moment-là que l’on entendit un bruit de clé dans la serrure. Audrey se dressa d’un bond et rabattit le drap sur moi. Puis elle enfila son débardeur et sortit de ma chambre. Quelques instants plus tard, elle quittait l’appartement, non sans être venu me glisser à l’oreille un « à bientôt » plein de promesses. Une dernière fois, sa main glissa le long de mon membre. La frustration était insupportable. Je fermais les yeux et, rassemblant mes forces, commençais à me masturber. Je revoyais les seins d’Audrey, son regard, ses hanches. J’entendis un petit cri. J’ouvris les yeux et m’aperçus que Françoise était là, debout devant moi avec un bol de soupe à la main. Ses yeux sur mon sexe bandé elle semblait interloquée. Je rabattis le drap sur moi. J’étais rouge de confusion et de fièvre. Françoise bafouilla : — Excusez-moi, je ne voulais pas vous déranger… Je ne savais pas… Je ne savais que répondre. Je la regardais, presque avec peur. Elle déposa le bol de soupe sur la table de nuit et s’apprêtait à sortir de la chambre quand elle se retourna vers moi. — Je peux vous poser une question ? Ce n’est pas Audrey tout de même qui vous a mit dans cet état ? J’étais incapable de dire un mot, mais mon ...