Amours ancillaires
Datte: 09/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
soubrette,
Oral
69,
... prénommait Audrey. Je bafouillais quelque chose comme « enchanté », et m’apprêtais à rejoindre ma chambre quand le téléphone sonna. — Oh, merde! jura Françoise. Il ne manquait plus que ça… — Va décrocher, maman, je vais raccompagner Arnaud dans sa chambre.— Merci ma chérie. Fais attention, il ne tient pas trop debout. Audrey m’entoura de son bras, et je crois que je me sentis encore plus fébrile que d’ordinaire. Elle m’aida à m’asseoir sur mon lit, souleva les draps et me fit m’allonger. Elle caressa ma joue, comme pour vérifier ma fièvre. Sa main était plus douce encore que je l’avais imaginé et son poignet sentait bon. Françoise entra dans la chambre. — Excuse-moi Audrey, mais j’ai encore un service à te demander. Madame m’a confié une course urgente. Je peux te confier Arnaud une petite demi-heure ?— Bien sûr !— Merci, ma chérie. Je fais aussi vite que je peux. Nous nous retrouvâmes donc seuls, Audrey et moi. Elle se tenait toujours assise sur le bord de mon lit. Je ne pouvais détacher mon regard de son visage. Elle aussi me regardait, silencieusement. Puis elle se pencha et embrassa ma joue, longuement. Je lui souris et murmurais : — Merci.— C’est moi qui vous remercie de votre compliment…— Quel compliment ? Je ne comprenais rien. Sans doute à cause de la fièvre. Elle se pencha et murmura à mon oreille : — J’ai vu comment tu matais ma poitrine tout à l’heure. Et j’ai vu aussi ton érection… Ce n’est qu’à ce moment-là que je m’aperçus qu’en effet mon sexe était dur comme de ...
... la pierre. Comme j’en prenais conscience, il me sembla presque douloureux. J’étais gêné, honteux… J’essayais de bafouiller une excuse, mais elle posa son index sur mes lèvres. Je me tus et fermais les yeux. Très lentement, elle fit glisser son doigt le long de mon menton, puis de mon cou. Sa main entra sous mon haut de pyjama et caressa délicatement mon sein. J’ouvris les yeux. Elle me regardait toujours. Se penchant, elle m’embrassa les lèvres. Sa douceur était incroyable. Sa langue caressait la mienne comme ses doigts frôlaient mon torse. Elle se redressa, repoussa les draps sur le côté et défit, un à un, les boutons de mon pyjama. Mon torse et mon ventre étaient mis à nu, imberbes et sensibles. Elle s’assit sur mes genoux, me faisant face. De ses mains, elle parcourait ma peau. La fièvre et ses caresses me donnaient une chaire de poule à la fois insupportable et délicieuse. Je regardais ses yeux, ses lèvres, son décolleté. Je ne pouvais pas bouger, mais je me délectais de tout ce que je voyais et des sensations qu’elle me procurait. Ses yeux dans les miens, elle enleva son haut. Mon souffle s’accélérait. Sa poitrine était merveilleuse. Ronde et ferme, sans être lourde. Elle prit ma main et la posa sur son sein. On eut dit qu’ils s’épousaient parfaitement. Elle me souriait. Je me sentais pataud. J’étais incapable de faire quoique ce soit. Elle s’allongea sur moi et m’embrassa de nouveau. Sa poitrine se coucha sur mon torse, m’arrachant des frissons de plaisir. Je haletais. ...