1. Je suis marié


    Datte: 11/04/2021, Catégories: hh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, cocus, Oral pénétratio, hsodo, confession, couple+h,

    ... cuisses écartées, le « Viens mon chéri… » ne peut laisser indifférent. D’habitude, si j’ai bien compris, c’est Margie qui me regarde avec mon amant. Là, c’est Abdou qui va nous regarder. Il va voir ce qu’est l’amour entre elle et moi. Ma queue en connaît chaque millimètre. J’ai besoin de ne rien faire. Juste placer mes cuisses entre les siennes. Me pencher un peu, les bras en appui de part et d’autre de son corps. Un geste du bassin, et déjà j’entre. Une poussée, et ma bite glisse dans une grotte accueillante. Accueillante ? Ô combien ! Une grotte qui a connu la bite d’Abdou. Une grotte qui garde les traces du foutre que ce traître d’Abdou a déversé il y a si peu, chevauché par celle qui m’appelle. Elle passe de l’un à l’autre. Elle s’offre à l’un et à l’autre. Je pensais avoir une femme et un amant, mais Margie a un amant et un mari. Je me croyais transgressif, honteux d’envies inavouées ? Margie est aussi transgressive. Non pas par l’existence d’un amant, mais par son goût reconnu pour le voyeurisme. Voyeuse d’un mari avec un homme. Voyeuse d’un mari qui enfile un homme. Voyeuse d’un mari qui se fait enfiler par un homme. Je me croyais « hors zone » ; Margie l’a rendue « normale ». Je suis en elle, comme des milliers de fois depuis que nous sommes ensemble. Mais c’est différent. Grotte grasse des sécrétions de son amant. Un amant qui regarde. Un amant qui bande et met sous nos yeux sa bite que l’un et l’autre apprécions. — Prends-moi… Je suis toute à toi. Tu es mon mari ...
    ... et je t’aime. Margie s’accroche à moi. Ses jambes m’enveloppent. Elle se pâme de cette simple possession, mais je sais bien que, comme moi, la présence de notre amant commun l’excite. Je la baise. C’est bon. Je nage dans le bonheur, la sérénité comme ma queue nage dans un foutre qui n’est pas le mien. Mais le propriétaire du foutre ne reste pas inactif. Je le sens derrière moi. Je le vois dans le regard de Margie qui passe au-dessus mon épaule. Je ne peux ignorer cette humidité sur mes fesses. Ces doigts qui se promènent, violeurs assermentés. Il veut me prendre, c’est une évidence. Je sens plus qu’un doigt qui pousse : c’est sa bite. Une bite qui depuis quelque temps m’a habitué à des plaisirs inconnus. Il pousse. Abdou m’encule. Je sens toute sa force. Je reste immobile et Margie ne proteste pas ; elle est au spectacle. Elle doit voir son amant sur moi, un amant qui pousse, pousse, avance, envahit, possède. — C’est dingue, je le sens ! dit ma femme. Bien sûr qu’elle le sent. La bite qui m’encule et qui force mes entrailles est aussi un coin imaginaire dans la mienne qui la fait gonfler. Le trio est formé. Un trio dont je pensais être la pièce centrale autour de laquelle tournaient ma femme et mon amant, mais… à des moments différents. Abdou commence à bouger. Il est loin le temps où il me ménageait. Il m’a fait goûter aux enculades sauvages avec une bite qui vous laboure le cul. Je jouis maintenant par mes entrailles. J’adore qu’il me lessive le cul. J’adore qu’il me cloue ...