1. Je suis marié


    Datte: 11/04/2021, Catégories: hh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, cocus, Oral pénétratio, hsodo, confession, couple+h,

    ... contre un mur, un appui, une chaise, un arbre, comme une de ces putes masculines qu’il connaît bien. Il bouge, mais moi je ne peux bouger. Margie m’enlace de ses bras. Nos visages sont si proches que je sens sa respiration sur moi. Son regard est mobile. On la dirait à la recherche du meilleur angle pour nous voir. Elle aussi est sensible à la puissance de notre amant. Combien de fois ce couple adultère a-t-il baisé et joui en pensant à moi ? Il m’enfile, et c’est bon. Encore meilleur que d’habitude. Une habitude où je me branlais pendant que l’homme me bourrait. Ici, c’est la grotte de ma femme qui me caresse. Je ne peux pas bouger, mais la souplesse des corps et l’envie de Margie qui la fait pousser son ventre vers moi, font comme si je baisais ma femme. Il m’enfile. Je pense une seconde que je vais en avoir pour mon argent, car Abdou a déjà craché sa purée une fois et que la seconde n’arrive qu’après une longue baise. Margie regarde de côté. Je réalise qu’elle regarde vers le miroir. Je l’avais oublié. On nous voit. Enfin, on voit surtout Abdou. Il n’est pas à genoux, mais accroupi, et ses mains se retiennent sur mes hanches. Le geste est particulièrement fort. Obscène, non, mais d’une puissance érotique extraordinaire. Il est beau, notre amant. Sa peau brille de transpiration. Ses muscles sont particulièrement magnifiés de cette façon. Et que dire de ce bâton qu’il ressort à chaque fois afin de replonger, reproduisant à chaque fois une possession totale ? Lui aussi ...
    ... regarde dans la glace. Il sourit. À moi ? À Margie ? Qu’importe, il estnotre amant. Il est notre Maître. Il a pris possession de notre couple. Il accélère. Surtout, il laisse partir ses « coups ». Mon cul l’apprécie, et mon corps transmet toute cette puissance à ma queue qui baise ma femme. Doucement, je vois l’expression de son visage changer. De voyeuse perverse elle se concentre sur son plaisir. Chaque coup d’Abdou déclenche un pincement de ses lèvres. — Je t’aime… dis-je dans un souffle. Mais elle l’entend et me regarde. Elle ne répond pas, mais un sourire suffit. Ses yeux se troublent ; je connais bien ces prémices. Abdou doit aussi l’avoir remarqué : il pousse encore plus vite, encore plus fort. On dirait que cet homme, ce jeune homme est dépositaire du savoir-faire de tous les hommes, homos et hétéros. — Aaaah… Ce n’est d’abord qu’un « Aaaah… » si faible que je suis seul à pouvoir l’entendre. Mais bien vite il devient audible par Abdou, puis résonne dans la chambre. — Oui… Oui… Putain, que c’est bon de la voir ainsi ! Je sens sous moi son corps trembler de jouissance. Je ne peux résister plus longtemps, et moi aussi je viens. Ma semence va rejoindre celle de l’étalon qui continue de m’enculer. C’est bon. Tout paraît simple. Je suis rentré, mari content d’aller réveiller sa belle. J’ai découvert le couple, et le ciel m’est tombé sur la tête. J’ai entendu, et j’aurais voulu me cacher dans un trou de souris. C’était… c’était… il y a seulement quelques minutes ; en tout cas ...