Je suis marié
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
hh,
fhh,
hbi,
hplusag,
fplusag,
cocus,
Oral
pénétratio,
hsodo,
confession,
couple+h,
... mais aussi avance et recule, simulant la possession. À nouveau du gel. Je comprends que ce qui se frotte maintenant contre moi, ce ne sont pas des doigts, mais l’extrémité de sa queue. Il se frotte un long moment. Du gel à nouveau. J’imagine mes fesses, mon cul, mais aussi sa bite briller de la crème grasse. Il pousse. Il tapote mes fesses, puis une grande claque qui me surprend. La surprise passée, je sens que j’ai quelque chose en moi. Une gêne difficilement identifiable si je ne savais qu’Abdou est entré. La lente glissade n’a pas de nom, si ce n’est une occupation envahissante de mes entrailles. — Voilà. Je suis tout en toi. Tu vois, ce n’est pas la mer à boire. C’est vrai. Qui aurait cru cela si facile ? Pour ma première sodomie, au moins j’ai placé la barre très haut. Mais mon enculeur n’en a pas fini avec moi. Il reprend son mouvement en sens inverse, puis avant, puis inverse. Enfin, quoi, Abdou me lime le cul. Quel spectacle nous devons montrer… enfin, surtout moi. — Putain, que c’est bon ! J’avais oublié combien le cul d’un puceau est serré. Il ne va pas trop vite. Parfois sa queue sort entièrement et mon cul doit prier pour qu’il revienne. Je ne vois rien et pense déjà que la prochaine fois il me prendra de face ; ainsi je pourrai le voir. C’est bon. C’est de mieux en mieux. Je me décontracte. Je pose ma tête sur la table, me cambrant encore plus, et je le sens d’une autre façon. Je me branle. C’est bon. J’ai une trique d’enfer. Une main se plaque sur mes reins, me ...
... forçant à me cambrer encore plus. Je suis une femme… Oui, comme ma femme lorsque je la prends en levrette, la chatte ou le cul, et qu’elle se tortille vicieusement pour mieux me sentir. Je le fais. Je suis une femelle et on me possède. Je me sens si bien… — Je viens… Je viens… Abdou se libère en moi. Une impression d’abord dérangeante, mais bien vite intégrée par mon cerveau. Du foutre ! C’est du foutre qui m’inonde. Du foutre qui rend encore plus faciles les quelques mouvements pour qu’il se termine. Il se retire. Il découvre ma queue encore raide, abandonnée depuis que j’ai le cul plein de sa liqueur. — Attends. Attends. Tourne-toi. Et mon amant me prend en bouche. Ma bite disparaît entre ses lèvres roses et charnues. Il faut peu de caresses pour que je jouisse. Abdou recueille chaque goutte. Que ce soit un homme ou une femme, c’est toujours très « sexe » de voir une bouche se remplir. Ma queue s’alanguit et Abdou l’abandonne. Ses lèvres sont closes. Son regard rieur. Il avance sur moi, et sans que je m’y attende, il m’embrasse. Un baiser que nous n’avions jamais échangé. Mais un baiser forcé où il fait couler de sa bouche mon propre sperme. Content de lui, alors que je suis bien obligé d’accepter de boire ma liqueur, il ajoute : — La prochaine fois, je vais te gicler dans la gorge. ______________________ J’avais franchi un pas. Plus exactement, on m’avait fait franchir ce pas. Nos rencontres ont changé. La plupart du temps je faisais la femme et j’y trouvais mon plaisir. ...