1. Je suis marié


    Datte: 11/04/2021, Catégories: hh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, cocus, Oral pénétratio, hsodo, confession, couple+h,

    ... Abdou avait des envies étranges. Il aimait me prendre dans ma maison. Dans ma chambre, sur le lit avec le grand miroir qui renvoyait notre image. Le même qui, quelques heures après, montrait Margie à quatre pattes, comme moi. Le plus étonnant, c’est que cette aventure avec Abdou ne diminuait pas le désir que j’avais de ma femme. Au contraire. Nous formions un trio dont j’étais le centre. Quel plaisir pervers, mais si fort que de baiser ma femme appuyée contre le plan de travail de la cuisine alors qu’Abdou m’avait ramoné au même endroit ! De toute façon, malgré un automne ensoleillé, il n’était plus possible de baiser dehors. ______________________ Je suis le plus heureux des hommes. Aucune maîtresse ne peut m’apporter ce qu’Abdou me donne. Et puis je me dis que d’une certaine façon je ne trompe pas vraiment ma femme. En plus, elle en recueille indirectement les fruits par un retour de tendresse, des cadeaux, une attention de chaque instant et une sexualité épanouie. D’ailleurs elle ne se plaint pas. Pas de question du genre « Tu as quelque chose à te faire pardonner ? » Elle apprécie. Je la trouve rayonnante. Le bonheur, quoi ! ______________________ Ces enfoirés de pilotes ont déclenché une grève-surprise, et à 7 heures du matin je me casse le nez devant des portes closes et des hôtesses qui tentent de calmer les voyageurs qui n’ont pas été prévenus. La seule chose qui me console, c’est qu’en rentrant je vais surprendre Margie avec des croissants. C’est mercredi, et ce ...
    ... jour-là elle ne travaille que l’après-midi. LeUber a fait vite. Il est 8 h 30 lorsque j’ouvre la porte de la maison. Elle est certainement encore au lit. Elle aime se prélasser, surtout que j’ai pris grand soin de ne pas la réveiller en partant. Le temps que le café passe, je me déshabille. Pour la surprendre, je mets ce petit tablier que j’aime tant lui voir porter et qui ne cache pas grand-chose. Dans la penderie au sous-sol je retrouve un vieux nœud pap’ qui complète la tenue d’un homme au service de « Madame ». Je monte avec le plateau à la main. Dans le couloir, je le pose sur le guéridon : je ne veux pas prendre le risque de le renverser en ouvrant la porte. Porte que je retrouve entrebâillée. Je pensais l’avoir refermée avec soin en partant. Elle s’est peut-être levée. Des bruits proviennent de la chambre. Ce genre de bruit lorsque Margie a du plaisir. La coquine doit se caresser… Je vais la surprendre et remplacer sa main par autre chose. Déjà je bande, et ma tige repousse le tissu du tablier. J’ouvre doucement la porte. Je veux la surprendre, pas lui faire peur. Elle se croit seule dans cette maison. Mais elle n’est pas seule. Oh, que non : elle chevauche un homme, Abdou. Abdou ? Mais comment est-ce possible ? Je le croyais homo, pas bi. Je m’étais rassuré en pensant qu’il ne s’intéressait pas aux femmes et que donc la mienne ne pouvait succomber à ses charmes. Pourtant je ne rêve pas : c’est bien elle qui gémit. Mais des gémissements que la queue sur laquelle elle se ...
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