Héloïse, ou les chemins de traverse (1)
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
fhh,
couplus,
alliance,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
fdanus,
init,
couple+h,
... puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma femme avait la bouche grande ouverte, elle respirait bruyamment, gémissait sans retenue. Elle prononçait des mots incompréhensibles… C’est François qui soudain lança d’une voix rauque : — Je vais jouir ! Oh, que c’est bon ! Héloïse se raidit, tandis que les jets de sperme s’écoulaient en elle. Elle m’a tout à coup embrassé avec une passion, une sauvagerie même que je ne lui soupçonnais pas. Et j’eus alors le sentiment étrange et inconfortable que je connaissais sans doute bien mal ma femme… La queue de François avait maintenant perdu de sa fermeté. Elle glissa en dehors de son fourreau soyeux. — Continuez donc sans moi, dit mon frère en riant. Le guerrier a besoin d’un peu de repos. Mais je récupère vite, ajouta-t-il. Héloïse était toujours allongée contre moi : elle caressa ma queue. — Toi, tu n’as pas joui, mon amour.— Pas encore, en tout cas.— Mais tu bandes encore ! Ça t’a excité de nous voir, ton frère et moi ?— J’ai surtout aimé observer ton plaisir ! Tu es si belle, si fascinante quand tu jouis !— J’ai encore envie. Avec toi, cette fois. Tu veux venir dans moi ? Sans attendre de réponse – à quoi bon, puisqu’elle la connaissait ! – ma femme m’a repoussé sur le dos, puis s’est installée à califourchon sur moi, les jambes de part et d’autre de ma poitrine. Elle a saisi ma queue entre les doigts, puis l’a introduite dans sa chatte toute poisseuse. J’étais si bien, au chaud dans elle ! Héloïse s’est doucement soulevée, ...
... puis abaissée, encore et encore : c’est elle qui me faisait l’amour, mais avec une infinie tendresse – comme un cadeau qu’elle aurait voulu m’offrir. François nous regardait, fasciné : il s’était installé, à genoux, et observait ma queue qui allait et venait dans la chatte d’Héloïse. Il bandait de nouveau. Parce que je savais qu’il nous regardait, j’ai empoigné à deux mains les fesses de ma femme. Quand j’ai tiré pour les écarter, j’ai dévoilé la troublante pastille mauve de son anus, révélé ses plis délicats. François était subjugué : que cette jeune femme était belle, et si excitante ! J’ai vu qu’il portait son index à la bouche, qu’il le mouillait copieusement de sa salive. Je devinais son intention et je l’attendais, le cœur battant à tout rompre. Quand il a, très délicatement, posé le doigt sur l’anus d’Héloïse, je l’ai sentie se raidir, chercher à se dérober. Mais je la maintenais fermement : elle ne pouvait pas s’échapper, échapper au contact qu’elle redoutait. — Non, pas ça ! Je ne veux pas… je ne veux pas… François, arrête…— Pssst, lui murmurai-je. Laisse-toi faire, mon bébé ! Tu ne risques rien… Héloïse avait suspendu son mouvement, le corps aux aguets. Seul François continuait sa caresse, pressant doucement sur la fragile corolle. Il sentit que l’anneau, progressivement, cédait, que le beau cul allait s’ouvrir, s’offrir. Héloïse avait le regard fixe, alors que la première phalange entrait enfin en elle. Comme à regret, François ôta son doigt, le mouilla de nouveau ...