1. Souvenirs d'une autre vie (3)


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’amour alors que je léchais mon amie. Je n’aurais jamais cru qu’elle se lâche de cette manière. Elle est quand même bien foutue. J’ai de quoi être sacrément jalouse. Mais Moïse n’a pas vraiment cherché à la baiser. Il a sans doute apprécié de nous voir, toutes les deux, nous envoyer en l’air. Je ne comprendrai jamais pourquoi ça les fait bander les types, de reluquer deux nanas qui se branlent. Il en a bien profité aussi. Elle a dû lui sucer le gland, ce gros bout circoncis qui me donne un tel plaisir que j’en deviens incapable de m’en passer. Dire qu’elle l’a aidé sans doute à s’enfoncer en moi le plus profondément possible. J’ai senti sa langue qui me laminait le clitoris alors que la bite me ramonait d’une façon si… divine. Nous sommes les trois, là, couchés sur le gazon et personne ne dit plus un mot. Dans le soir il me semble entendre un bruit de moteur, sur la route qui passe bien au-dessus de la maison. Quelle heure est-il ? Je m’en fiche un peu, mais il fait encore si chaud… et si nous allions piquer une tête ? Je devrais leur demander aux deux autres, là, qui ne bronchent plus ! Mais ouvrir la bouche, parler, ça va rompre le charme de cette soirée, ça va casser sans doute quelque chose. Nous avons le nez dans les étoiles. Le ciel est maintenant juste constellé de lucioles qui brillent. Alors je me mets sur un coude, me relève à demi. Mon compagnon en fait autant ! Voilà le voile se déchire sur cette étrange soirée. Maryse, elle se met debout, mais ne cherche pas à ...
    ... fuir. Nus tous les trois nous attendons sans doute les réactions des deux autres, sans rien dire. Je me lève et prends la main de mon amie. — Viens ! Allons nous baigner. Vous voulez bien ? Un bain de minuit… j’en ai toujours eu envie. — Pourquoi pas ? Tu as raison allons faire quelques brasses. C’est Moïse qui vient de me répondre. Il est enthousiaste à l’idée de piquer une tête. Maryse n’a pas retiré sa main et nous voici, courant vers le ponton. La première à se jeter dans le pot au noir, c’est elle. Je suis et notre amant passager ferme la marche. Le bruit que font nos corps qui entrent dans la flotte troue la nuit. Je plonge et nage vigoureusement. La tache blanche de ma copine est à un mètre devant moi, et le sillage qu’elle fait m’éclabousse le visage. La fraicheur du lac nous a ragaillardis quelque peu. Puis elle fait un surplace qui permet à Moïse et moi de la rejoindre. Nous nous accrochons chacun à un des bras de la brune et nous nous mettons à tourner en rond. L’homme a lâché prise et comme aspiré par l’eau, il se laisse couler. Il ne tarde pas à revenir, sous la surface, passer entre mes jambes écartées. Il en profite pour coller un instant sa bouche à ma toison blonde et embrasse ma chatte avant de refaire surface pour respirer goulument. Maryse en deux mouvements de bras s’est éloignée. Elle nage comme une sirène, ma parole ! Mon copain se colle à nouveau contre moi et je sens… qu’il rebande déjà. C’est à mon tour de me laisser glisser le long de son corps. J’ai ...
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