1. Souvenirs d'une autre vie (3)


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pris une goulée d’air et en apnée je m’approche de ce serpent qui reste plaqué au ventre noir. J’ai juste le temps de l’enfoncer dans ma bouche que déjà je dois remonter pour respirer. Il rit comme un gosse. Il est heureux et réclame en rigolant que je recommence. Mais cette fois, il se met en position allongée, étendu à la surface et fait la planche. Je me faufile contre sa queue et je peux enfin le sucer, la tête hors de l’eau. Je ne me perds pas en vaines recherches. Maryse reste hors de ma vue et je ne veux pas savoir où elle se trouve. Puis lui et moi revenons vers le ponton et quand il est remonté, il me tend la main pour me hisser sur le plancher. Il m’enlace de nouveau et je suis saisie par ses bras musclés. Il me pousse sans perdre de temps, et c’est à genoux que je dois lui offrir mon postérieur. Prière bien volontiers satisfaite, je me donne sans retenue. Ses mains me tiennent par les hanches et son dard s’enfonce jusqu’à la garde dans mon fourreau, chauffé à blanc. Il prend son temps pour faire avancer son bassin contre mes fesses. Il me fait hurler de désir sur ces planches mal jointes, et je secoue ma tête à droite et à gauche en poussant des gémissements que la nuit amplifie. Je vais jouir, quand son sexe sans me laisser de répit, sort de ma caverne. Le blues que je ressens à ce vide soudain n’a pas de résonnance dans mon esprit que déjà, la dague se faufile entre mes fesses. Je veux dire non, mais aucune parole n’a le temps de franchir mes lèvres. Le bout ...
    ... lisse n’a pressé qu’un court instant avant de s’introduire à toute vitesse dans l’étroit canal que je persiste à serrer le plus possible. Cette entrée violente me tire presque une larme. Mais il est trop tard pour refuser la prise de mon petit trou. Mon souffle est coupé, je ne respire plus, je redoute même le retour en arrière de l’engin pourtant d’une longueur modeste. Fine mouche, Moïse me tient par les hanches et se contente de rester le bassin collé à mon fessier. Lentement une de ses mains passe entre mes cuisses largement ouvertes. Un doigt vient chatouiller mon clitoris et je rue de plus en plus. J’en oublie qu’il est toujours fiché dans mon anus. C’est moi maintenant qui remue la croupe, qui cherche à échapper à ces doigts qui pincent mon pic rose. Pour me défaire de cette étreinte, je dois bouger et chaque mouvement me fait aller et venir sur la queue qui me sodomise. Ensuite il s’agite en cadence, rythmant ses élans sur mes contorsions. Et dans la nuit étoilée, la magie du plaisir recommence. La louve que je suis aboie à la lune. La tigresse feule au gré des coups de reins de ce diable noir qui m’encule. Je ne veux plus qu’il quitte mon rectum, je ne veux plus qu’il abandonne mon clitoris, je veux avoir mal, je veux qu’il me baise sauvagement. Et je le dis crument, je le dis haut et fort. Je ne sais plus à quel moment sa main est partie, de ma chatte pour revenir faire péter sur mes fesses une claque sonore. Je ne suis plus rien d’autre qu’une mare de mouille, je ...