1. Souvenirs d'une autre vie (3)


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... coule, je noie ma chatte sous des geysers de liquide. Je me pisse peut-être même dessus tant je ne peux plus rien réprimer. Il continue à me pistonner, à s’enfoncer vite parfois, plus lentement souvent, à sa guise, sa mentule qui me fait ululer comme une chouette, au bord de ce lac. Je l’insulte, je le chéris, je me donne totalement, sans retenue et je n’ai plus aucune notion du lieu ou de l’heure. Plus rien ne compte que cette communion de mon corps avec la bite qui l’anime. Il sait y faire et je n’oppose plus aucune résistance à cette forme de sexualité débridée que d’ordinaire je refuse dans sa globalité. Quand je sens son foutre qui gicle en moi, c’est comme si je devenais folle, je hurle vraiment. Je me secoue, me crispe. Je serre les fesses refusant de sentir cette bite mollir. Je la veux, je ne désire que la garder au fond de moi. Je retarde l’affreuse déchirure de la sortie de cette queue qui me donne tellement de bonheur. Moïse, tu peux partir, mais je garde ta bite et tes couilles. C’est à moi, ce sont mes choses pour le reste, tu peux te tirer ! Salaud, je t’aime, comme je n’ai jamais aimé personne. Je te veux comme jamais je n’ai désiré qui que ce soit… ne me quitte pas. Pourtant au bout de longues secondes, l’épée qui me transperçait se glisse hors de mon cul, sans que ni lui ni moi ne puissions la retenir. Dans un élan tout féminin, je me retourne et l’embrasse à pleine bouche. Il se laisse rouler une pelle que nous devons interrompre pour reprendre un peu ...
    ... d’air. Les mains de Moïse sont sur mon cou. Il me caresse les oreilles, cherchant sans doute à prolonger les effets bénéfiques de cet accouplement qui vient de nous emporter vers des sommets. J’ai adoré et je crois que je suis accro de ce grand gaillard à la petite pine. C’est pourtant bien vrai qu’il ne suffit pas d’en avoir une… encore faut-il savoir s’en servir et une petite vigoureuse vaut bien une grosse paresseuse. Je ris, je pleure, un délicieux mélange que l’extase d’un instant précieux me pousse à prolonger, de peur qu’il ne revienne… jamais. Enlacés, amoureux, nous revenons vers la lumière. Maryse a allumé la terrasse, pour que nous soyons guidés vers le halo, vers la maison. Elle a passé un paréo et se tient assise sur son fauteuil d’osier. Sur la table, elle a posé une bouteille de vin blanc et trois verres. Mon compagnon et moi sans dire un mot attrapons chacun un de ces gobelets. Nous trinquons joyeusement sans chercher à définir quoi que ce soit. L’instant présent, et seulement celui-là, est bon à vivre. Rien ne sert d’avoir des remords, pas plus que des regrets. J’ai le dos en compote, les reins en marmelade et sans doute que j’aurais du mal de m’asseoir durant un temps plus ou moins long. Mais rien n’a d’importance si ce n’est que je me sens sur un nuage. Mon ami est celui qui pour le moment me convient le mieux. Il fera jour demain. Profitons de cette belle nuit d’été. Nous sommes trois amis, nous sommes beaux, nous sommes heureux. Maryse garde sur les lèvres un ...