1. La boite de Pandore (4)


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Divers,

    ... joues. Elle se sentit mieux. Pourquoi cette fois-ci ses lèvres s’ouvrirent elles alors qu’une pointe de langue envahissait sa bouche ? Les femmes seraient toujours trop difficiles à saisir pour un François fou de bonheur. Il embrassait avec volupté la femme de son pote, sans remords non plus. Et aussi bizarre que cela puisse paraître, elle, non seulement répondait avec une farouche détermination, mais de surcroit elle en voulait de plus en plus. Elle le cramponnait comme s’il se fut agi de Michel. Pourquoi, ce type devenait-il une planche de salut pour elle ? Grand mystère de l’inconscient féminin. Bien sûr sous l’effet de ces baisers langoureux, il était des parties du corps, aussi bien féminines que masculines qui se prenaient aux jeux. Il banda d’un coup ! Elle mouillait depuis quelques minutes. Du visage, les doigts avaient déjà migré vers des contrées moins visibles. Il avait simplement remonté le bas de la robe et la culotte qui cachait le sexe de Claude se trouvait poussée sur le côté. Elle ne sut pas quel doigt la pénétrait, mais celui qui entra était le bienvenu. Les mouvements d’avant en arrière que le reste de la main entreprit, faisait une sorte de clapotis tant elle était humide. François était aux anges ! La mouille coulait littéralement de la chatte de la femme de son ami. Un long filet lui courrait sur l’intérieur des cuisses. Une autre partie avait humecté le tissu de son slip. François attrapa délicatement le bras de la femme et elle ne fit aucune ...
    ... difficulté pour se relever. Il l’a colla contre le tablier de la table de chêne. Et la robe se souleva sur les hanches de la belle. À aucun moment il ne chercha à retirer le triangle de chiffon trempé. Elle n’entendit que le bruit du zip qui ouvrait sa braguette. Pliée en deux, les jambes légèrement fléchies, elle se sentit soudain complètement remplie. Il avançait son bassin et sa bite venait buter au fond de son vagin. Puis en la maintenant par les hanches il se mit en devoir de la pistonner sans aucune retenue. Elle gémissait, et sa tête frottait contre la nappe. Elle ruait, avançait et se tenait à la table, et sa respiration était de plus en plus saccadée. Elle criait maintenant de plus en plus fort, se moquant totalement de réveiller Michel, toujours à sa sieste. L’autre la baisait bien, la baisait comme elle le voulait, finalement. Mais à ce rythme-là, François sentit bien vite sa semence monter vers le haut de sa tige. Il éjaculait en elle quand elle releva la caboche. Michel, dans l’encadrement de la porte, avait des yeux qui lui sortaient des orbites. Elle le fixa profondément, elle soutint son regard et c’est lui qui baissa les paupières le premier. Elle semblait lui dire, juste avec les mirettes… — Tu es satisfait ? Tu as fait de moi une salope et maintenant tu n’as plus le monopole, le droit de cuissage exclusif. À trop tenter le diable, il arrive que l’on se brule… Pourtant aucun son ne sortait des lèvres soudées de son épouse. Michel avait mal aux tripes, mais sa queue ...