Et si c'était le début...
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
médical,
fépilée,
campagne,
amour,
extraconj,
... s’enfoncèrent dans mon épaule, elle geignait en enfonçant sa langue dans ma bouche. Par saccades, elle envoyait son bassin à la rencontre de mon doigt qui s’enfonçait plus profondément en elle à chaque passage. Elle mouillait abondamment et ses gémissements s’étaient transformés en une plainte rauque qu’aucune convenance n’inhibait plus. Elle plaqua ses mains sur mes épaules et, d’un mouvement brutal, me jeta en arrière. Sans qu’elle dise le moindre mot, je compris qu’elle m’invitait à la pénétrer. J’enfilai un préservatif et me positionnai alors entre ses cuisses largement ouvertes. Ma verge était tendue à l’extrême. De la base à la pointe du gland elle s’était gorgée du sang que les battements frénétiques de mon cœur avaient fait affluer vers elle. Je m’accoudai au-dessus de Nathalia qui, prenant ma hampe du bout de ses doigts, la guidait déjà vers l’entrée de son vagin parfaitement lubrifié par le désir. Je n’eus qu’à cambrer légèrement le bassin pour m’enfoncer en elle. Comme possédée, elle poussa un cri presque animal, l’étreinte de ses bras m’étouffait et je dus lui résister. Pour échapper à sa constriction, je me dressai sur mes bras. J’entamai de ...
... lents mouvements, pensant faire durer le plaisir, mais agrippant sa main à mes fesses, elle m’intima d’accélérer. N’y tenant plus moi-même, hors d’esprit, hors du temps, j’obéis. J’accélérai le mouvement, sans aucune retenue, le choc sec de nos peaux qui se rencontraient rythmant le chant de son plaisir. Elle pétrissait mes épaules de ses mains moites. À présent, seule la violence de mes coups de boutoir faisait osciller le râle qui s’échappait de sa gorge. Elle venait et par là même faisait flamber mon excitation. N’y tenant plus, je jouis en une plainte grave mais continuai à besogner ma partenaire. Le sperme qui giclait dans le latex brûlait mon gland. Dans un spasme hurlant, Nathalia capitula à son tour, me labourant les omoplates de ses ongles. Le silence retomba alors. La belle tremblait légèrement. L’embrassant dans le cou, je me retirai délicatement. Elle me regarda, son sourire trahissait une gêne immense. — Et voilà, lançai-je sans trop même savoir pourquoi j’avais dit cela.— Voilà quoi ?— Euh… je ne sais pas. Elle me fixa quelques instants puis, s’abandonnant, éclata de rire… La gêne était passée et je comptais bien ne pas en rester là… (À suivre…)