1. Apaisements variés


    Datte: 17/04/2021, Catégories: fh, ff, fffh, fagée, alliance, copains, Oral délire, humour, fantastiqu, fantastiq,

    ... commencé à vouloir faire l’amour avec Azura. Nous sommes partis en hâte, en fauchant deux ensembles de sous-vêtements tandis que la vendeuse appelait la police à son tour. J’étais vraiment certain qu’il ne nous faudrait pas trop moisir dans les environs… Mais que faire ? Maintenant que les filles étaient habillées, il allait falloir rentrer. Mais on n’allait pas encore faire du stop… Et je ne voulais vraiment pas avoir recours à Bazouk… Moins je voyais la tronche de cake de mon génie raté, mieux je me sentais… Je pensais bien à une solution : on n’était pas très loin de chez Aurélie, une excellente copine de longue date avec qui j’étais sorti plusieurs fois, et avec qui je passais encore de temps en temps une soirée ou deux. Elle pourrait sans doute nous accueillir, et même peut-être nous ramener jusqu’à chez moi, si j’insistais un peu… Je guidai Azura et Pandore au hasard des ruelles en direction du quartier où vivait Aurélie. Mais je fus soudain pris d’un léger coup de flippe : nous tombâmes sur un groupe d’une dizaine de mecs d’entre quinze et vingt ans, petite bande de racailles occupée à zoner dans les quartiers déserts. Et ça ne loupa évidemment pas, ils remarquèrent mes deux compagnes et se mirent à gueuler comme des truies : — Ouah putain, t’as vu les meufs comme elles sont bonnes !— Oh elles me chauffent la teub, ces salopes !— Mate leurs nibards ! Ils sont en solde ! En temps normal, tout seul, je serais sans doute passé à côté de ces blaireaux sans un mot et sans ...
    ... problème, mais là, je savais que ça allait dégénérer. Les mecs changèrent de trottoir pour venir s’approcher de nous. L’un d’entre eux s’adressa à moi : — Eh mec ! Elles sont pas mal tes copines… Je sentais monter l’embrouille. — Tu veux bien partager ? J’essayai de temporiser vaguement : — Euh… bon… écoutez les gars, je suis désolé, mais on est un peu pressé…— De quoi ? T’es pressé ?— Ouais, il est pressé d’aller baiser…— Ben tu m’étonnes, t’as vu les corps de ces meufs ?— Ouais regarde, elles ont même le cul à -20% ! L’un d’entre eux commença à poser ses mains sur les fesses d’Azura. Je virai ses paluches en braillant : — Eh stop ! Bas les pattes ! Je me pris immédiatement un coup de poing en retour. Les filles crièrent. Je laissai tomber mes sacs de fringues et mes peignoirs et balançai aussitôt en tous sens de grands coups de pied et de bazoukoline sur le mec qui m’avait frappé et puis sur d’autres qui passaient par là. Deux ou trois s’écroulèrent sous mes coups acharnés, tandis que la bazoukoline tombait peu à peu en morceaux. Mais, en une fraction de seconde, je reçus un grand coup de latte dans le ventre, un autre dans le dos, et un troisième dans la tronche, et tombai à la renverse sur les vêtements éparpillés. — Mon Gufti adoré !!! hurlèrent les filles.— Vous inquiétez pas, mes chéries, on va s’occuper de vous ! Les connards qui m’avaient shooté n’avaient pas lésiné ; j’avais la tête en carafe. Je tentai de reprendre clairement mes esprits ; ces trouducs étaient en ...
«1234...9»