Apaisements variés
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fffh,
fagée,
alliance,
copains,
Oral
délire,
humour,
fantastiqu,
fantastiq,
... train de peloter grossièrement Pandore et Azura qui essayaient de se défaire de leurs emprises. Me croyant définitivement hors d’usage, plus aucun ne faisait attention à moi, concentrés qu’ils étaient sur les filles. J’attrapai la théière et la frottai doucement. Bazouk en sortit, quasi instantanément. — Mon bon maître ! Qu’y a-t-il à ton service ? Les lascars sursautèrent et se tournèrent tous de nouveau vers moi. — Pandore et Azura sont en danger, tu dois nous aider ! implorai-je.— C’est quoi, ce mec transparent qui flotte ? hurla un des loulous.— Je m’occupe de tout ! beugla Bazouk. Il se tourna vers les racailles en ouvrant grand ses bras devant lui et en s’affublant d’un air savant pour déclarer sobrement d’une voix assurée : — Que la paix soit avec vous ! Cela eut un effet certain sur les zygomatiques des guignols. — Ouoh les gars, venez, on va se faire le type bleu ! Mais des éclairs partant des poings de Bazouk fusèrent en tous sens, atteignant tous les mecs l’un après l’autre. Ils s’immobilisèrent un instant. Les filles, libérées, coururent jusqu’à moi : — Mon Gufti adoré, est-ce que tout va bien ? me demandèrent-elles en m’aidant à me relever. Mais la vue de leurs visages attentionnés me guérissait déjà partiellement ; celle de leurs corps acheva de m’énergiser ; celle des types qui demeuraient hébétés me redonna le moral. — Merci mes chéries, ça va mieux… Puis me tournant vers Bazouk, qui avait quitté son air cultivé pour reprendre sa traditionnelle allure ...
... débonnaire, je me renseignai : — Que leur as-tu fait ? Il sembla se gonfler de fierté et nous informa : — Un sort d’apaisement. Ils devraient être plus calmes, maintenant.— Parfait, c’est exactement ce qu’il fallait. En fait d’être plus calmes, c’étaient carrément devenus des légumes… Ils restaient quasi immobiles à se regarder avec flegme et visiblement félicité. L’un d’eux tourna enfin la tête vers moi pour me dire avec onctuosité : — Je vais aller vous cueillir des fleurs… Deux autres se roulèrent une grosse pelle. Je haussai les sourcils ; Bazouk proposa son opinion : — Curieux, ce n’est pas tout à fait ce que j’attendais… Je le rassurai : — C’est pas grave, tu as fait de ton mieux, et c’est pas si mal… Maintenant, tu peux rentrer dans ta demeure…— Non, je te suiv… Je l’interrompis en jetant un peignoir sur la théière. Mais cette fois-ci, ce fut inefficace : le peignoir que je maintenais enroulé autour de la timbale fut un instant comme agité de spasmes ; Bazouk, coincé à l’intérieur, remuait dans tous les sens. Pourquoi ne disparaissait-il pas au fond de son truc ? J’avais pourtant tout fait comme la fois d’avant… Puis sans que je sache comment, il parvint à se libérer du linge qui le maintenait prisonnier et reparut à nos côtés dans toute sa splendeur. Je recommençai à toute allure, jetant de nouveau un peignoir autour de la théière et le maintenant serré sous mon bras tandis qu’il convulsait, et ajoutai cette fois-ci sur l’ensemble un grand coup de ce qui restait de la ...