Apaisements variés
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fffh,
fagée,
alliance,
copains,
Oral
délire,
humour,
fantastiqu,
fantastiq,
... bazoukoline. Il y eut un grand bruit semblable à celui que produirait un piano tombant sur le sol depuis le toit d’un gratte-ciel ; l’instrument de musique vola en morceaux. L’agitation sous le peignoir cessa un moment, mais reprit finalement de plus belle et une fois encore, Bazouk arriva à se libérer et se tint bientôt tout content devant moi. Ça m’agaçait ! J’avais vraiment cru être enfin parvenu à trouver un moyen de le faire rester dans sa boîte, mais non… ça ne marchait pas… Du coup j’hésitais… Devais-je à nouveau le mettre à contribution ? Pouvions-nous vraiment nous promener en ville avec lui à nos côtés ? Ou alors continuer comme si de rien n’était jusqu’à chez Aurélie ? En même temps, s’il y avait une personne qui pouvait accepter Bazouk sans me faire chier, c’était bien Aurélie. Je savais qu’elle me prendrait pas la tête. Et puis, oui, d’un autre côté, nous étions vraiment à deux pas de chez elle, nous avions la dalle, elle nous recevrait sans poser de question et ne se surprendrait de rien… Et éventuellement, on pourrait même s’éclater un peu au pieu… Et y avait de quoi s’éclater ! J’évoquai l’image d’Aurélie, toute mimi, son joli visage, ses cheveux longs détachés aussi noirs que ses yeux toujours espiègles, son petit corps élancé et bien proportionné : ses beaux seins menus, sa taille étroite, ses jambes fines, son petit cul magnifique, rebondi juste comme il fallait… Et elle savait l’utiliser, son cul. Pas rien que son cul, d’ailleurs… elle était avide de ...
... partout… Et sa bouche pulpeuse et profonde… Hmmm… j’en bandais d’avance ! Mais une voix suave me sortit soudain de ma rêverie : — Je voudrais vous inviter à dîner… C’était un des lascars qui nous avaient agressés qui ne se sentait plus… Je l’envoyai promener, envoyai aussi promener l’image de la bouche et du cul d’Aurélie qui trottait encore dans un coin de ma tête d’obsédé (de toute façon, y avait trois chances sur quatre qu’elle soit déjà avec un mec, mais c’était pas grave, on y allait pas franchement pour ça, et puis quand mon regard retomba sur le corps de Pandore, je me dis que j’avais vraiment ce qu’il me fallait…), et expliquai finalement à mes compagnes que nous nous rendions chez une de mes amies, où nous serions à l’aise pour nous détendre quelque peu sans subir questions et regards pesants. Et tout en ayant parfaitement conscience que ce serait très certainement voué à l’échec, je mis quand même Bazouk en garde, lui exhortant de se tenir à carreau… Et quelques minutes plus tard, je sonnai à la porte de l’appartement d’Aurélie, toujours accompagné d’Azura, de Pandore, de nos sacs de fringues… et surtout pour finir, nous étions accompagnés de Bazouk qui flottillait au-dessus de sa théière avec affectation… — Qui est là ? interrogea la douce voix d’Aurélie à travers la lourde porte.— C’est Gufti.— Gufti ! hurla-t-elle passionnément en ouvrant. Mais sa passion retomba tout soudain manifestement lorsqu’elle aperçut Azura et Pandore à mes côtés. Ce fut d’une voix froide ...