1. Apaisements variés


    Datte: 17/04/2021, Catégories: fh, ff, fffh, fagée, alliance, copains, Oral délire, humour, fantastiqu, fantastiq,

    ... laissai faire en lui caressant les cheveux ; elle eut tôt fait d’extirper mon sexe tendu et de l’enfouir dans sa bouche avide qu’elle fit doucement glisser autour de mon gland gonflé. Je fermai les yeux et poussai un gémissement en savourant sa caresse. Cela dut faire réagir nos voisines car je sursautai soudain en entendant Aurélie hurler à Pandore : — Lâche-le, salope ! Elle se jeta quasiment sur elle avec des yeux possédés en continuant de tempêter : — Bas les pattes ! Gufti est à nous ! Pandore dut prendre peur et tenta instinctivement de se reculer, mais s’effondra en arrière. Aurélie lui tomba quasiment dessus, enragée. — Tu entends ? Il est à nous ! Rien qu’à nous ! Ne le touche p… Mais elle fut brusquement frappée par un nouvel éclair de l’incroyable Bazouk, qui montait scrupuleusement la garde. — Paix ! glapit-il en nous couvant tous d’amènes regards. Pandore tentait de se dégager de l’étreinte d’Aurélie, mais Bazouk semblait avoir raté son fameux sortilège d’apaisement, car celle-ci tenait encore bon. Azura, parfaitement nue, se rapprocha de moi, venant coller ses gros seins contre mon bras, et ...
    ... saisit ma queue en disant d’un ton amusé : — Ton amie Aurélie semble avoir du tempérament… Elle se mit à me branler doucement en posant sa tête dans le creux de mon cou. — Oui… et encore plus que tu ne crois… Et comme pour illustrer mon propos, Aurélie s’allongea soudain complètement sur Pandore et colla passionnément ses lèvres aux siennes. Pandore secoua un instant la tête pour se dégager. — J’ai très envie de toi ! lui souffla Aurélie. Je veux te faire l’amour sauvagement, je veux te faire jouir… Et elle passa une main entre les cuisses de sa prisonnière, tandis qu’elle entremêlait leurs jambes. Pandore gémit soudain, sans doute au moment où Aurélie lui enfonça un doigt, ou peut-être plusieurs. Les deux jeunes femmes s’embrassèrent encore avec passion, et se mirent ensuite à rouler dans le salon, l’une et l’autre passant alternativement au-dessus, sans cesser de se doigter, se cajoler et gémir. Azura souriait en continuant de me branler et en observant la scène. — Mon Gufti adoré, finit-elle par me demander, que puis-je faire pour t’être agréable ?— Tout ce que tu veux, ma puce. Je te laisse choisir… 
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