Apaisements variés - Histoires de Sexe

Apaisements variés

... qu’elle poursuivit : — Gufti, tu sais que je n’ai rien contre le fait que tu viennes régulièrement chez moi, même pour de simples plans cul…— Je…— Mais prem… Elle s’interrompit soudain car elle venait d’apercevoir Bazouk, qu’elle fixa un moment d’un regard curieux, avant de m’interroger d’une voix accablée : — C’est quoi, ça ?— Euh, rien… enfin, si, c’est un pote, il s’appelle Bazouk, mais fais comme s’il était pas là… Il y eut un silence pesant, mais elle suivit ma recommandation et poursuivit effectivement comme s’il n’était pas là, reprenant sa voix glaciale : — Donc premièrement, tu pourrais prévenir…— Je te dérange ? Tu as du monde ?— Oui, je ne suis pas seule ! Merde ! — Ah, je suis désolé, ma puce…— Je suis avec ma mère ! Re-merde ! Enfin, non, d’un côté c’était bien, elle était pas avec un autre type (c’est dingue comment je pouvais être jaloux, alors que je savais très bien qu’entre nous y avait plus rien d’autre que quelques baises de temps à autre…), mais d’un autre côté, sa mère était un vrai boulet qui me détestait de toutes ses forces. — Et deuxièmement, il est hors de question que tu débarques avec tes copines à gros seins pour tenter de me faire te baiser avec elles ! Je t’ai déjà dit que je voulais pas qu’on fasse des plans à plusieurs et que de toute façon, si on en faisait, ce serait moi qui choisirais avec qui ! En soupirant, je laissai tomber par terre toutes les affaires que je portais. Elle posa un regard noir sur Pandore, puis sur Azura, qu’elle ...

... fixa un bon moment avant d’ajouter : — C’est clair, les minettes ? Je ne sais pas ce que Gufti vous a promis, mais c’est niet !— Mais enfin, Aurélie, qu’est-ce que tu vas t’imaginer…— Regarde-les, tes nanas, là, qu’attendent pendues à tes bras avec leurs seins à -30% ! Aurélie fusillait Azura du regard ; celle-ci baissait les yeux en se serrant encore davantage contre moi, ce qui agaçait sans doute encore plus mon amie… J’étais presque mal à l’aise. Mais Bazouk jugea soudain opportun d’intervenir : — Que la paix soit avec toi ! Il s’adressait visiblement à Aurélie. Je rétorquai : — Oh, Bazouk, ta gueule ! Te mêle pas de ça… Elle lui jeta rapidement un œil menaçant, en s’écriant : — Qu’est-ce que c’est encore que ce gag ?— Non, non, c’est rien, laisse tomber, je t’expliquerai… Finissant par l’ignorer une fois encore, elle reposa sur Azura un des regards noirs dont elle avait le secret. Mais un éclair jaillit soudain de derrière moi pour venir frapper Aurélie, qui resta comme figée. J’explosai en me retournant : — Mais bordel de merde de connard de génie raté ! Tu vas pas bien ou quoi ?!? Qu’est-ce que tu fous ?!?— J’ai senti de l’animosité, répondit-il bravement. Azura était en danger.— N’importe quoi ! Mais non, elle était pas en danger ! Je rêve ! Je me tournai de nouveau vers Aurélie ; le regard qu’elle braquait toujours vers Azura perdait peu à peu de sa froideur, ses traits se détendaient, elle commençait même à lui sourire. — Qu’est-ce que tu lui as fait ? Encore ton sort ...