1. Apaisements variés


    Datte: 17/04/2021, Catégories: fh, ff, fffh, fagée, alliance, copains, Oral délire, humour, fantastiqu, fantastiq,

    ... t’ai dit de pas le faire et tu le fais quand même… tu te fous de ma gueule !— J’ai senti de l’animo…— J’en ai rien à foutre de ce que tu as senti ! Là tu commences sérieusement à me faire chier ! Pandore hurla soudain : — Attention ! Je me retournai juste à temps pour éviter la mère d’Aurélie qui me sautait dessus les bras grands ouverts et les yeux rendus fous, en hurlant : — Gufti, je vous aime ! De tout mon cœur ! De tout mon corps ! J’évitai ses assauts à plusieurs reprises, en me planquant tour à tour derrière Pandore, derrière Bazouk ou derrière Aurélie et Azura qui s’étaient quand même arrêtées un instant de se peloter pour se délecter de la chasse au Gufti. — Je m’offre tout entière à vos fougueux assauts, mon bel amant ! Oh, prenez-moi ! Je m’abandonne ! Je ferai tout ce que vous voudrez ! Et tandis que je me dérobais derrière elle, Aurélie trouva spirituel d’ajouter : — Vas-y, m’man, tu verras, c’est un super coup ! Je la regardai avec dépit. Elle rigola. Azura et Pandore se marraient aussi. — Mais enfin, fais quelque chose ! hurlai-je à mon merveilleux génie. Pendant que je continuai à courir dans le couloir avec la mémère aux trousses, il fit mine de réfléchir. Après deux nouvelles esquives, je l’entendis bramer : — J’ai une idée ! Il y eut un éclair et un peu de fumée qui se dissipa bientôt en dévoilant un petit arbre, solidement enraciné dans le sol du couloir. Et Bazouk me conseilla : — Gufti ! Grimpe à cet arbre ! Elle ne devrait pas pouvoir t’y suivre… Dans ...
    ... un mouvement de colère, je courus jusqu’à lui et mis un grand coup de pied dans sa théière, qui vola à l’autre bout du couloir, emportant momentanément avec elle mon illustre génie. — Gufti ! Mon chéri ! Revenez vous jeter dans mes bras ! Je saurai satisfaire le moindre de vos fantasmes ! Je retournai me planquer derrière le tronc du bonsaï géant qu’avait inventé Bazouk ; la mémère m’y rejoignit. Puis, dès qu’elle faisait un pas d’un côté, j’en faisais un de l’autre, laissant toujours le végétal entre nous. Sans doute à cause du bruit qu’on faisait dans le couloir, deux voisins d’Aurélie étaient sortis de chez eux et s’interrogeaient tout autant sur la présence d’un arbre dans le couloir que sur la prestation de la mère de leur voisine. — Mais m’man, intervint enfin Aurélie, tu vois bien que Gufti n’est pas quelqu’un pour toi ! Et puis de toute façon, il est à moi ! Elle roula une pelle à Azura avant d’ajouter : — Enfin, il est à nous…— Ce n’est rien, nous le partagerons ! répliqua la mémère, avant d’ajouter, sans doute à court d’arguments : Gufti ! Je suce ! J’avale ! J’aime être enculée ! Et bien d’autres choses encore ! Je lançai un drôle de regard à Aurélie, que la situation semblait toujours amuser, mais qui répondit quand même d’un ton de reproche : — Mais enfin, maman ! Ça ne va pas !— Ça m’intéresse ! gueula soudain un des voisins en s’approchant de notre arbre. On le dévisagea tous curieusement ; la mère d’Aurélie s’arrêta de me courir après pour contempler en détail ...
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