Apaisements variés
Datte: 17/04/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fffh,
fagée,
alliance,
copains,
Oral
délire,
humour,
fantastiqu,
fantastiq,
... l’auteur de la proposition. Elle dut juger que le jeu en valait la chandelle car elle m’abandonna bientôt pour se précipiter dans ses bras. — Aurélie, ma petite, annonça-t-elle, je vais faire la connaissance de ton charmant voisin. Gufti attendra bien…— Oui, oui, j’attendrai ! lâchai-je en soupirant. Prenez tout votre temps… Et elle suivit ledit voisin jusque chez lui, claquant la porte derrière elle. Je soufflai de soulagement. L’autre voisin nous regarda et bafouilla : — Vous croyez que je peux les rejoindre ? Aurélie me regarda en riant ; et sans attendre notre réponse, l’homme alla frapper doucement à la porte qui s’était refermée derrière le couple de sexagénaires. On lui ouvrit bientôt, il entra en s’excusant de déranger, et la porte claqua de nouveau derrière lui. Je me tournai vers Aurélie : — Eh ben ! Ça bouge, chez toi, hein ! Elle me sourit puis roula encore une pelle à Azura avant de nous inviter à entrer finalement chez elle : — Venez, installez-vous, nous serons plus à l’aise pour faire connaissance… Bazouk était en train de revenir doucement vers nous ; je lui conseillai d’ôter rapidement son arbre et, après avoir ramassé toutes nos affaires, nous pénétrâmes finalement tous chez Aurélie. À peine étions-nous entrés qu’Aurélie se jeta de nouveau sur Azura et l’entraîna jusque dans un canapé où elle entreprit de la déshabiller sans la moindre pudeur. Je fermai à clef derrière moi la porte d’entrée de l’appartement et ordonnai à Bazouk de se mettre dans un coin et ...
... de ne plus bouger ni intervenir. L’appartement d’Aurélie n’était pas gigantesque mais tout de même assez spacieux et bien aménagé. Nous nous trouvions tous cinq dans un grand salon sur lequel donnait le coin cuisine, séparé par une simple demi-cloison ; de l’autre bout partait un minuscule couloir qui desservait des toilettes, une salle de bains, et une chambre (que je connaissais bien…). Tout le salon était agencé autour d’un vaste canapé à quatre ou cinq places, qui tournait le dos à la kitchenette et faisait face à un bel espace télé-hi-fi-vidéo d’un côté et une belle grande bibliothèque de l’autre. C’était un endroit agréable à vivre où l’on se sentait instantanément bien. D’ailleurs Pandore s’y trouva tout de suite à son aise car elle me jeta presque sur le canapé, juste à côté d’Aurélie et Azura, toutes deux presque nues, et sauta sur mes genoux pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue virevolta un instant avec la mienne puis, d’un geste rapide, elle ôta son sous-pull soldé et libéra sa lourde poitrine qu’elle vint plaquer contre mon visage. Elle referma ses mains sur ma tête ; je dévorai ses seins un bon moment. À côté de nous, Azura et Aurélie se caressaient, s’embrassaient, se pelotaient, se masturbaient à qui mieux mieux. Je n’étais même pas certain qu’elles eussent remarqué que nous étions à côté d’elles. Lorsque Pandore sentit sous ses fesses que j’étais à point, elle se recula, ôta rapidement son jean et s’agenouilla nue à mes pieds pour ouvrir le mien. Je la ...