Madame S, comme Succube - Histoires de Sexe

Madame S, comme Succube

... accompagné d’un clin d’œil de complicité. Ce fut le déclic qui libéra totalement Madame S., ce château n’était qu’une maison des plaisirs où les hommes étaient des biens de consommation au même titre que les capotes qui se trouvaient dans l’entrée. Madame S. poursuivit alors son chemin, à la recherche d’un fantasme à assouvir, un parmi tant d’autres pensait-elle, car la soirée était encore jeune… à l’image des hommes au service des invités. Elle se dirigea alors à l’étage, là où les couples s’enfermaient pour profiter des « esclaves » mis à disposition par l’organisateur, les couloirs étaient plongés dans l’ombre et chaque chambre était éclairée et munie de portes vitrées, de telle sorte que les gens de passage pouvaient à loisir observer ce qui se passait à l’intérieur. Madame S. parcourait les couloirs à la recherche de quelque chose, mais de quoi, elle l’ignorait pour l’instant, jusqu’à ce qu’enfin elle trouve une chambre avec trois hommes seuls, inoccupés semblait-il, dont un black membré comme un âne ! Madame S. avait toujours été fascinée par les dimensions surréalistes que l’on accordait à la bite de certains blacks, mais n’avait jamais encore osé coucher avec l’un d’eux. Mais ce soir, elle savait qu’elle allait faire une expérience. Elle franchit la porte et entreprit de se dévêtir, mais elle se ravisa, elle toisa du regard les trois hommes et leur dit : — Déshabillez-moi ! Aussitôt dit, les trois hommes s’avancèrent. Le premier se mit à genoux devant elle pour lui ...

... retirer ses chaussures, le second s’occupa du haut de sa robe et le black vint se placer derrière elle pour aider les deux autres. Madame S. sentait déjà cette bite noire frôler ses fesses, ces trois hommes la déshabillaient lentement en couvrant son corps de baisers, il était clair que leur objectif était de couvrir le moindre centimètre carré de son corps de leurs baisers enfiévrés. La belle vicieuse se laissait totalement faire. Une fois nue, elle entraîna le black sur le lit et elle fit patienter d’un geste les deux autres qui bandaient déjà à moitié. Elle jeta son amant de couleur sur le matelas et s’allongea sur son corps. Elle sentait déjà cette queue chaude contre son ventre et avait des crampes d’estomac, tant elle était impatiente d’en être remplie. Elle descendit donc à toute vitesse vers cette bite ; elle était longue, mais pas trop épaisse. De ce fait Madame S. pouvait l’enfourner au fond de sa gorge sans problème. Vu ses talents de suceuse - aux dires de ses amants -, le pauvre black se retrouva bien vite à bander comme un cerf et Madame S. le pompait de plus belle, enfonçant l’énorme gland dans les profondeurs humides de sa bouche tout en lui malaxant les couilles. Il était totalement rasé et Madame S. était fascinée par cette queue noire qui bandait rien que pour elle, on aurait dit une petite fille les yeux pleins de convoitise devant un énorme sucre d’orge. Madame S. était à court de patience, elle n’avait pas de temps à perdre, elle ordonna à un des hommes ...