Madame S, comme Succube - Histoires de Sexe

Madame S, comme Succube

... restés sur la touche de venir lui préparer la chatte. Elle tendit son cul vers eux, ils se bousculèrent alors pour être le premier à goûter à son fruit fendu et en moins de 10 secondes elle se retrouva avec une bouche soudée à son intimité, une langue fureteuse et des doigts agiles qui la faisaient mouiller comme une folle. Au comble de l’impatience, elle enfila fébrilement une capote sur la queue du black, en se demandant même si le préservatif serait assez grand pour recouvrir cette colonne de chair. Une fois l’objet encapuchonné, elle s’empala dessus avec une infinie lenteur, à chaque centimètre de bite qu’elle prenait, elle retenait son souffle. Et cette bite phénoménale continuait de s’enfoncer en elle sans fin, jusqu’à ce qu’elle remplisse totalement sa grotte des plaisirs. Là, elle cessa de bouger pour reprendre sa respiration et s’habituer aux dimensions hors du commun de son amant. Puis, lentement, il commença à s’activer en elle. Elle se faisait remplir la chatte comme jamais elle ne l’avait été, mais ça ne lui suffisait pas, elle en voulait plus encore ! Elle appela les deux autres hommes, elle ordonna à l’un de lui lécher le cul et à l’autre de lui amener sa bite. Et Madame S. se retrouva ainsi, un black couché sous elle qui lui besognait la chatte, un autre homme qui lui écartait les fesses des deux mains pour lui assouplir la rondelle et elle pompait voracement la queue du troisième. Elle vivait complètement son plus vieux fantasme, elle se fit l’effet d’être ...

... une actrice de films pornos et cette pensée l’excita encore plus, car elle voulait se sentir chienne, n’être qu’une jument prête pour la saillie. Autant dire que sa pensée n’était plus axée que sur le sexe débridé. Elle relâcha la bite qu’elle avait en bouche pour lancer sèchement à son deuxième amant un : — Encule-moi, vite ! Avant de replonger la bite du troisième homme au fond de sa gorge et de n’être capable d’émettre qu’un gloussement obscène, lorsqu’elle sentit la bite encapuchonnée s’enfoncer inexorablement jusqu’à la garde dans son anus bien préparé. Elle n’était plus capable de penser désormais, elle ne savait plus que ressentir les choses. Mais malgré son mutisme forcé, elle pouvait encore communiquer avec ses trois partenaires : lorsqu’elle commença à ruer sur les deux queues plantées en elle, les trois hommes comprirent qu’elle voulait qu’ils se lâchent. Le black lui empoigna les fesses et la défonça comme une chienne, celui qui l’enculait s’agrippa à ses épaules et lui fit subir le même sort et celui qu’elle suçait lui prit la tête entre ses mains pour littéralement se branler dans sa bouche. Madame S. prit alors conscience d’une chose, dans son esprit embrumé par le plaisir : elle devenait volontairement l’objet sexuel de ses trois amants, elle était tellement défoncée, ravagée, utilisée, que même si elle avait voulu tout arrêter, elle en aurait été incapable. Et ce fut avec cette révélation en tête qu’elle jouit comme jamais elle n’avait joui. Ses contractions ...