Zob at job (1)
Datte: 22/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Je considère que les nichons, c’est comme le relief. Ça va des monts d’Arrée à l’Everest. Je n’ai rien contre la Bretagne, mais, personnellement, je préfère grimper le point culminant du monde qu’une grosse colline. Enfin, grimper le point culminant du monde... C’est vite dit... faut pouvoir y aller. À défaut je sais me contenter des Alpes, voire des Pyrénées. Et... elle est plutôt le genre Puy de Sancy que Mont-Blanc; Elle est folle de moi. Je le sais. D’abord parce qu’elle s’est arrangée pour me le faire savoir par Eric, un autre collègue de boulot. Il est aussi gay qu’on puisse l’être et il lui sert de meilleure copine. Et puis elle fait tant d’efforts pour que je m’approche d’elle. Elle porte des jupes si courtes qu’on dirait des ceintures. Elle exhibe sa raie dans des culottes trop étroites. Elle en est impudique et indécente. À tel point qu’un jeune stagiaire, l’autre jour, en avait le boxer tout tendu. Il ne savait plus où se foutre. Le patron vient généralement le mardi et le jeudi. Là, elle s’habille de façon plus convenable. Elle met des décolletés, mais c’est pathétique. Y’a rien à bouffer là-dedans ma pauvre Iohanna ! J’ai bien failli dire à Eric que moi, je fantasme sur les gros nichons. Le reste est secondaire. Le gros, sein, l’opulente mamelle, le nibard colossal, la laiterie industrielle, c’est ça qui me fait bander. Le reste j’y viens après. Mais mon trip, c’est la poitrine. Rien ne vaut une bonne cravate de notaire, des tétons pointus qu’on dévore, des ...
... chairs qui remplissent bien la main; des mamelons fermes qui respirent sous les jets de sperme. Parce que tant qu’à jouir, c’est sur ces rondeurs que j’aime y aller. Un jour peut-être je me caserais. Mais pour le moment je préfère garder jalousement l’indépendance de ma queue. Je vais dans les clubs, je surfe sur l’internet, je fais les maisons closes dès que e boss m’envoie en Allemagne. Les FKK n’ont plus de secret pour moi. Et là toujours je vais sur les pipeuses à forte, très forte poitrine... Enfin ça c’était avant, avant que Nina n’arrive. Ah Nina ! Le coup de foudre ! Le vrai. Celui qui existe. Je l’ai vue et cela a été d’une telle évidence qu’il m’a semblé que tout mon être n’attendait qu’elle. J’étais perdu derrière mon écran quand elle est arrivée. C’était la nouvelle. Nous ne travaillons pas en open-space mais nos bureaux sont séparés par une épaisse cloison de verre. D’abord, les premiers après le hall, celui de Iohanna et le mien, puis la salle de conférence puis celui d’Eric et en retour après la kitchenette et les sanitaires trois autres bureaux, celui que le patron occupe quand il vient et deux autres, libres pour le moment. On se voit tout le temps. Néanmoins, pour être tranquille, lorsque l’on reçoit un client par exemple, on peut tirer un rideau, sans même bouger de notre place puisqu’il y a une télécommande. Nina était dans le bureau de Iohann et j’ai d’abord vu son sourire, je vous jure, d’abord son sourire. Et puis ses yeux verts... un vert sombre et profond, ...