1. Zob at job (1)


    Datte: 22/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... qu’il n’y aura jamais rien entre nous. — Alors mon Yann, quand vires-tu ta cuti ? Ou — Tu as toutes les femmes que tu veux et tu pourrais avoir tous les hommes dont tu ne veux pas... — Allons, toi aussi... — Ah non, ah non... moi j’veux tous les hommes, y compris celui qui ne me veut pas... enfin, tu ne sais pas ce que tu perds ! Et un tas de conneries de ce genre. Très vite Eric m’a appris que, apparemment non, Nina n’avait pas de petit ami. Alors j’ai demandé à mon collègue et pote gay d’organiser une soirée pour qu’on puisse se rencontrer, mieux faire connaissance avec Nina. Mais cela a été un bide. Je n’ai rien osé tenter. Elle s’est montrée heureuse, enjouée, spirituelle, on a bien rigolé, mais rien... Les jours suivants, j’ai remarqué un rapprochement entre les deux filles. Elles devenaient de plus en plus proches, presque amies. Mais Iohanna n’arrêtait pas de me faire du gringue pour autant, et moi je fantasmais de plus en plus sur Nina. Il m’arrivait, certaines fois que je la regardais trop, à mesure que l’été approchait et que les tenues devenaient plus légères, de bander comme un fou derrière mon bureau sans pouvoir me toucher et je devais attendre qu’elles sortent toutes les deux pour glisser furtivement vers les toilettes pour me soulager, aussi vite que possible en espérant ne rencontrer personne qui ne s’aperçoive de la bosse énorme qui soulevait la toile de mon pantalon. Je m’agitais frénétiquement le nœud au-dessus de la cuvette des w.c. et revenais ...
    ... m’installer, tranquille pour un moment, à mon poste de travail. Je suis venu un matin plus tard que d’habitude. Il n’y avait aucun rendez-vous à l’agenda, pourtant les rideaux de Iohanna étaient tirés, signe qu’elle recevait quelqu’un et donc qu’il fallait différer nos salutations du jour.. Je me suis installé, en faisant un peu de bruit pour qu’elle sache que j’étais bien arrivé. J’ai tombé la veste, l’ai mise sur le dossier du fauteuil, ai allumé l’ordi et passé un premier coup de fil. Souvent, quand je téléphone, je fais pivoter le fauteuil de droite et de gauche, regardant tantôt par la fenêtre, tantôt vers la cloison de verre, tantôt vers l’un ou l’autre mur. Lors d’une de ces rotations, je vis le rideau se mouvoir dans l’angle. Il s’ouvrait et, tout en continuant à parler avec mon interlocuteur, je m’apprêtais à dire coucou à Iohanna. Mais.... — Allo ? Allo, Yann ? Vous êtes encore là ? Y’a un problème ? Mon correspondant était surpris par mon silence soudain et absolu. — Euh... attendez, attendez... je crois que ma collègue fait un petit malaise... je.. je vous rappelle... Ma collègue ne s’était jamais aussi bien portée. Mais ce que j’avais découvert au fur et à mesure que le rideau s’était ouvert m’avait laissé sans voix. Entièrement nue, allongée sur le bureau, les jambes grandes ouvertes, les pieds posés de part et d’autre chacun sur une chaise, la chevelure blonde en bataille, les yeux émeraudes fixés sur moi, la bouche entrouverte et la langue parcourant les lèvres en signe ...