Zob at job (1)
Datte: 22/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... de contentement, Nina, la belle Nina, la femme de mes rêves, la déesse de mes nuits, la beauté de mes fantasmes, Nina était en train de se faire bouffer la chatte par Iohanna, à genoux, qui y allait comme une folle à en juger par les mouvements de sa tête. Gouine, j’étais amoureux fou d’une gouine qui avait réussi à séduire une femme qui prétendait coucher avec moi et qui était en train de jouer à broutte-minou avec elle ! Elles me provoquaient, pour qui ? Pour quoi ? Nina, ma belle Nina, en train de se peloter ses gros nichons, ses beaux nichons que je voyais pour la première fois et avec lesquels elle jouait tout en me dévisageant... et l’autre petite bécasse ! Elle s’arrêta un court instant, releva la tête et leva son pouce en l’air tout en me souriant d’un air entendu. Pendant ce temps, Nina ouvrit bien ses lèvres avec ses doigts les présentant à l’autre chienne. Elle s’y précipita aussitôt et se remis à lécher goulument. Nina remonta alors ses jambes et les replia vers elle pour ouvrir grand son trou et son cul. Son regard, toujours lancé vers moi en forme de défi semblait me dire : "C’est ça que tu voulais gros ? Et bien ce n’est pas pour toi ! Tu peux toujours te tripoter mon grand !" Je restai là un long moment complètement interdit puis je finis par réaliser. Je me sentais humilié, sali, cocu même. Comment elles s’étaient foutues de ma gueule ! Je décidai de ...
... partir... de fuir en fait. Je pris ma veste et sortis sur-le-champ. Je m’arrêtai dans un bar que je connaissais bien et commandai un double whisky, ce qui n’était pas mon habitude en matinée. fufwwxr Raymond le patron me dit : — T’as pas l’air bien. Un problème ? — Ma femme me trompe, répondis-je ! — Ah merde... Tiens, mais je savais pas que tu étais marié ! — Ouais... enfin, c’est plus compliqué que ça ! — Ah ! Et tu connais le mec ? — C’est pas un mec ! — Ah merde alors... c’est moins grave d’un autre côté, hein... risquent pas de te faire un gosse dans le dos... Mais tu es sûr ? — Je les ai surprises en train de se bouffer le cul ! Tu imagines ? — Ah chaud.. toutes les mêmes hein! — Ouais, remets-moi ça ! — Oulaaa, non ! Tu vas vite dépasser la dose. Ce que tu as de mieux à faire c’est de rentrer chez toi ou d’aller aux putes tirer ta vengeance, mais je te ressers pas ! Pas dans c’t’état là ! — Ouais t’as peut-être raison.... Là-dessus, je rentrai chez moi. J’envoyai un message par mail au bureau pour dire que je ne viendrai pas de la journée, que je travaillerai depuis la maison... Mais je ne pus rien faire. Je restai toute la journée à moitié prostré, sans rien faire, ne sachant pas si je devais poser ma démission ou pas. J’avais bu encore un peu. Vers dix-huit heures, on sonna à la prote. Je regardai dans le visiophone. C’étaient mes collègues de bureau... À suivre