Zob at job (1)
Datte: 22/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... envoûtant, ses beaux cheveux blonds regroupés en chignon (c’était son premier jour, elle a fait dans le strict) et cette énorme poitrine, enfin qui semblait vouloir crever le chemiser, déborder le tailleur et s’avancer vers moi pour un hommage effervescent.... peut-être, en définitive est-ce inconsciemment cette masse de chair qui m’a d’abord attiré, qui à hypnotisé mon champ de vision, qui a aimanté mon regard vers la femme, mais c’est le sourire qui m’a ferré comme un pêcheur ferre le poisson. Je ne sais pas ce qu’elle m’a dit ni ce que j’ai répondu. Des conneries sans doute. Je me suis senti rougir, mais rougir.... comme la fois où mon coloc m’avait surpris dans les chiottes de l’appart, dont j’avais mal fermé la porte, en train de me masturber... c’était quand j’étais étudiant. Je suis tombé amoureux instantanément. S’en est-elle rendu compte, je ne sais pas. Mais Eric oui. Il n’arrêtait pas de me chambrer après... et Iohanna, morte de jalousie. Elle n’a rien perdu de la scène. Elle a tout de suite vu ce qui se passait et elle m’a battu froid pendant des jours. Je me crois beau garçon et je n’ai jamais aucun problème avec les femmes; je drague, je me prends parfois des râteaux, mais souvent j’emmène la fille chez moi. On passe la nuit ensemble, je vois ce qu’elle sait faire et si c’est une bonne pipeuse qui sait jouer avec ses seins sur mon zizi, je la revois... mais je ne m’attache jamais. Pas timide donc, mais Nina.... impossible de l’approcher sans balbutier. J’ai ...
... l’impression d’être un petit garçon ou même l’adolescent emprunté que j’étais quand je croisais la mère de mon copain Miguel ; une rousse comme j’aime, avec des seins partout... mais j’étais ado et c’était la mère de mon pote et dès que j’ai eu dix-huit ans, j’y suis allé et je l’ai sautée la mère de Miguel. Une bombe d’ailleurs, pas fainéante sous l’homme la MILF. J’étais peu expérimenté à l’époque et elle m’a bien permis de développer l’art de la queue la salope. Elle m’a appris à me contrôler, à bien trouver le bouton, à bien exciter la femme et la faire monter aux rideaux quand la tringle est bien mise. Miguel n’en a jamais rien su. Mais avec Nina, il me semble que je ne pourrai jamais, que je ne saurai jamais, que je n’oserai jamais. Depuis qu’elle est là, Iohanna s’habille plus normalement. Revenue de sa jalousie première, elle déploie des trésors de gentillesse pour me séduire, ayant constaté qu’Iohanna ne faisait pas le plus petit pas vers moi. Je me suis alors servi d’Eric. Il devait bien pouvoir recueillir les confidences de la nouvelle venue. Les filles l’adorent Eric. Il est rassurant avec sa carrure de videur de boîte de nuit qu’il entretient soigneusement par de longues heures en salle de muscu, mais tellement touchant pas sa gentillesse et sa délicatesse. Les filles lui parlent volontiers. Ce serait un concurrent sérieux s’il n’était pas attiré par mon cul plutôt que par celui de mes collègues. Car Eric m’a dragué bien sûr. Maintenant c’est juste un jeu sachant ...